dimanche 24 octobre 2010

Parlez-moi…je suis tout l’ouiiiiiiiiiiiiiie !

Parlez –moi  donc de l’ouïe, je vous mets à l’écoute,
Parlez sans faire de bruit, pour que l’ouïe se déroute,
Laissez chanter le son, oubliez la chanson,
Ressentez, ça résonne dans votre pavillon.

Captez dans vos oreilles, le son de l’Univers,
Le son Un, le son qui, vous met tout à l’envers,
Vous met tout à l’endroit, le son qui tourne en rond,
Qui tourne, qui tourbillonne comme un colimaçon.

Il aspire à voler, il  aspire à chanter,
À tourner comme un fou, pour d’ici décoller,
Et puis se retrouver dans des mondes parallèles,
Tout comme si on s’était, fait pousser une paire d’ailes.

Pour rencontrer bientôt, dans toutes ces galaxies,
Des Êtres rayonnant, qui seront nos amis?
Des êtres lumineux, frères de l’Un voyageant,
Venus nous inviter, dans leurs vaisseaux d’argent?

Petit frère des étoiles, voudrais-tu bien me dire,
D’où Tu viens ? Qui tu es ? Quel est ton point de mire?
C’est ta voix que je crois, entendre me répondre.
Ah! Ça! C’est dans ma tête que tu viens me confondre!

Compagnon d’un autre âge, frère d’une autre vie,
Si toi tu me connais, je te connais aussi,
Sur cette planète Terre, nous nous sommes retrouvés,
Pour mieux nous souvenir, de notre identité.

Car, Notre Souveraineté, qui dès lors se dessine
Nous rappelle chaque jour, notre essence divine,
Notre noble appartenance à toute l’Immensité,
Puisque depuis longtemps, nous sommes déjà nés.

Quand il te prend, de faire quelques révélations,
Sur un sujet qui vibre, tu portes notre attention,
Et tel un diapason, tu  nous donnes le ton,
Juste par l’intensité, de ta propre vibration.

Pour écouter le son, pour nous donner le ton,
Le ton de nos couleurs et de leurs vibrations,
Sur ton orgue tu joues; les notes s’entremêlent…
Les notes se font Une, les notes se démêlent.

Et je sais que tu sais, que nous appartenons,
Tout deux, sans aucun doute, à d’autres dimensions,
En d’autres espaces et lieux, là nous nous retrouvons,
Comme dans un rêve bleu et blanc à l’horizon.
.
Et pour n’être pas né, que pour naître pas nez,
Aujourd’hui, tu es donc, un autre nouveau né,
Et pour n’être pas vue, que pour naître pas vu,
Aujourd’hui tu es l’ouïe; demain, qui seras-tu ?

Je t’aime d’ici et d’ailleurs

Brigitte

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire