vendredi 31 décembre 2010

POÉSIE POUR L’AN NEUF,

Voilà qu’à pas de velours, la nouvelle année,
Chaussée de ses trois cents soixante et cinq souliers,
Arrive et vient  frapper à ta porte d’entrée,
Pour t’offrir les cadeaux, qu’elle t’a apportés.

Les souliers de Janvier sont de blanc habillés,
Et leurs présents foisonnent de ce que tu as semé,
De ce que tu as planté à la saison d’été,
Voici venu le temps pour toi de récolter.

Et ceux de février, t’offrent des pages blanches,
Ces pages que tu as, écrites en lettres franches,
À la lumière des jours, ils se révèleront,
Sources d’inspiration, source d’acceptation.

De mars les souliers, subtilement se remplissent,
De ces frémissements, de prémisses que tu sens,
T’annonçant l’arrivée prochaine du printemps,
De son explosion en poussées depuis longtemps.

Avril voit ses souliers, se remplir de sève,
Cette sève qui nourrit et fait vivre tes rêves,
De cette sève qui, circule et donne vie,
Et prépare en tes veines, ce sang neuf, qui jaillit.

Et Mai les voit alors, regorger de bourgeons,
Qui se préparent pour, faire leurs floraisons,
Afin que la  beauté de ce mois se dévoile,
Celle que tu as semée, qui te vient des étoiles.

Et les souliers de Juin, fleurissent de bonheur,
Celui du renouveau, tu lui ouvres ton cœur,
Les jeunes poussent lèvent, celles que tu as chéries,
La magie du printemps, est celle de ta vie.
    Juillet a des souliers, luisant de mille feux,
De ses souliers vernis, valsant aux jours heureux,
Recevant par milliers ses roses en brassées,
Aux parfums du chemin que tu as sillonné.

Et le mois d’Août les voit, dans ses douceurs d’été,
De ta magnificence étalant ta beauté,
Et le soleil plus chaud, rayonne de bonheur,
Et tu chantes ta joie de sentir sa chaleur.

Septembre  les rempliras encore plus d’allégresse,
Ces cornes d’abondance, qui te mettent en liesse,
Et qui font de ce mois, un mois plein de promesses,
Ouvrant ainsi la voie aux fruits de la tendresse.

De fruits vermeils regorgent, les souliers d’Octobre,
Ces fruits mûris en toi, tous au longs de ces mois,
Ces mois et ces années, passés à te connaître,
Et puis te reconnaître, pour que tu puisses naître.

En Novembre tes souliers, se mettent à chanter,
Sur tes introspections, à chanter et danser,
Et ce sont de multiples voix qui les remplissent,
Et qui fêtent ta gloire, et qui te définissent.

En Décembre, tu bénis cette année écoulée,
De gratitude sont pleins à craquer, tes souliers,
Car de nombreux présents, elle a su t’apporter,
Ces multiples moments, de générosité.

Cette année n’est vraiment, que ce que tu en fais,
Sensible aux résonnances que tu sais faire vibrer,
Semblables aux sons d’amour de ton cœur, ta Présence,
Lumineuse et vibrante, de ton Être l’essence.

Brigitte

vendredi 24 décembre 2010

Il est né le Divin Enfant,


Il est né le Divin Enfant,
Chantons tous, Son avènement!
Il est né, Celui qui en toi,
Attendait pour devenir Roi.

Il est né dans toute Sa splendeur,
Il est né dans toute Sa grandeur,
Il est né, l’Enfant adoré,
Pour t’apporter la joie d’aimer.

Il est né pour t’apprendre à jouer,
À voir la vie du bon côté,
Et pour t’apprendre à t’étonner,
T’apporter son innocence innée.

L’enfant Soleil, l’enfant Étoile,
Qui se tenait derrière le voile,
Venu te présenter sa toile,
Son Unicité se dévoile.

Et s’Il vient tout juste de naître,
Comment ne pas Le reconnaître?
À Lui, tu te relies souvent,
Lui, l’Amour grand comme l’océan.

Il te fait renaître à toi-même,
À ton essence, pour que tu aimes,
Que tu te tournes vers l’essentiel,
Ton essence venue du ciel.

Il fait de ta vie, ton projet sens,
Un projet dont tu connais l’essence,
Tu reconnais ton droit de naissance,
Tu bénis votre re-co-naissance.

Il était là, en gestation,
Bien lové dans Son blanc cocon,
Faisant que tu Le reconnaisses,
Pour qu’un jour, enfin tu renaisses.

Et voilà, qu’en ces temps de fêtes,
La connexion s’est enfin faite,
En ce jour de nativité,
Fêtons l’Enfant-Roi qui est né.

Et je salue en toi la Mère,
Toi, qui l’as porté en ton sein,
Et je salue en toi le Père,
Qui a crée cet enfant Un.

De l’Esprit du Père, conçu,
De la trame de la Mère, issu,
En toi, il y a fait Sa place,
Pour que la Trinité se fasse.

Votre Divine Reconnexion,
Se réalise dans la fusion,
Votre Reconnexion Cosmique,
Explose dans son jardin ludique.

Noel, c’est la Paix dans ton cœur,
La Joie de vivre ce grand bonheur,
Noel, c’est l’Amour dans ta vie,
L’Union qu’il crée, par sa magie.

Il est né, le Divin Enfant,
En chacun de nous, en ce jour,
Il est né le Divin Enfant,
Chantons tous son avènement!

Brigitte le 25 décembre 2010

vendredi 17 décembre 2010

Sur son violon elle joue, la valse du bonheur,

Sur son violon elle joue, la valse du bonheur,
De sa voix de cristal, elle chante avec ferveur,
Elle compose des airs, qui riment avec douceur,
Qui riment avec la joie, qu’elle porte au fond du cœur.

Sa vie est de recherches de nouveaux horizons,
De moyens de soigner, d’aider sans condition,
Et toujours à l’affût, de nouvelles méthodes,
Afin que le mieux être, pour chacun soit le code.

Les formations qu’elle suit, sont pour fin de partage,
Elle en prend le meilleur, qu’elle sculpte à son image,
Comme le ferait en art, un maître du modelage,
Afin de l’enseigner, en fait le décodage.

Brillante, déterminée, elle se sert de ses dons,
Et de ses aptitudes, induit la guérison,
Et le son qui guérit, saura trouver le ton,
Les couleurs de sa voie, alors resplendiront.

Assoiffée de savoir, prompte et efficace,
L’enseignement qu’elle donne, se fait en face à face,
En chaque jeune, elle sait, reconnaitre en lui,
L’Être qui brille comme, une étoile dans la nuit.

Elle leur sert de jalon, à ces adolescents,
Elle est le phare qui luit, au port les ramenant,
Elle leur redonne foi, en eux, en leurs talents,
Sur leurs chemins qui semblent, être de sables mouvants.

Ton âme généreuse, tu la tiens de Ton Père,
Tu tires ton énergie, de la Divine Mère,
De ces femmes de Terre, de ces femmes de cœur,
De celles qui autour d’elles, distribuent le bonheur.

Toi qui tisses ta toile, au gré des évènements,
Ta toile de lumière, et puis d’or et d’argent,
Des perles de rosée, tu y as déposées,
Reflets de ta beauté, dans le matin doré.

Belle femme tu es, dans ta robe de lumière,
Que je peux percevoir, encore bien plus qu’hier,
Belle femme tu es, dans ton manteau drapée,
Aux mille et une étoiles, venues s’y accrocher.

Ces étoiles sont celles que tu as allumées,
Pour chaque acte posé, qui t’a fait t’élever,
Toutes ces parties de toi que tu as dévoilées,
Que tu as accueillies, que tu as su aimer.

Toi, ma sœur, mon amie dont je peux être fière,
Nous avons toutes deux, parfois les mêmes prières,
Mon cœur d’amour, pour toi, de gratitude, déborde,
Comme celui d’une mère, quand son enfant, elle borde.

Tu sais si sûrement, me montrer le chemin,
Quand de mon beau miroir, tu es le parchemin,

Sur lequel j’ai écrit à l’encre de couleur,
« J’ose, je m’affirme, avec passion, avec ardeur.»

Sur ton violon, tu joues, la valse du bonheur,
De ta voix de cristal, tu chantes avec ferveur,
Et je te remercie, de toute ton attention,
De t’avoir dans ma vie, comme source d’inspiration.

Je t’aime
Brigitte

mercredi 8 décembre 2010

De tous les feux de l’arc en ciel, elle brille.

Quand l’arc-en-ciel se fait, intense et lumineux,
Le ciel semble étrangement, se diviser en deux,
Je pense alors à toi, toi ce soleil radieux,
Irisant chaque goutte, de rayons malicieux.

La lumière éclaire l’ombre, aux portes de la nuit,
Qui à pas de velours, tout doucement s’enfouit,
Ta grandeur intérieure est telle cette étincelle,
Cette étoile qui sourit, divine et éternelle.

Tu es cet arc-en ciel, qui surgit de la nuit,
Cette voûte fluorescente, qui arrive sans bruit,
Distribuant sans compter, les spectres de son arc
Déversant ses couleurs, tout comme un grand monarque.

Toi, ma sœur, mon amie, compagne de beaux jours,
Il me semble te connaître, t’aimer depuis toujours,
Tu colores ma vie de tes multiples touches,
Comme pour tes tableaux, dont on ne sait la souche.

Généreuses en couleurs, intense et pétillante,
Tu as sauvegardé, ton cœur d’adolescente,
Ta spontanéité, ta fraicheur printanière,
Et ton âme d’enfant, à sa candeur première.

Entre pluie et soleil, selon l’odeur de l’air,
Du rire aux larmes, tu passes en un éclair.
Tu es comme la mer et ses grandes marées,
Dont les vagues déferlent sur la plage désertée.

Tu es l’ondine des ruisseaux, des rivières, des torrents,
La sirène des mers, aux chants si envoûtants,
Tu es la mer dans toute son immensité,
Car c’est de l’Énergie Mariale que tu es née.

Ton visage possède la beauté des ces filles,
Comme celles  que l’on trouve, du côté de Manille,
Ta peau a la couleur des femmes de là-bas,
Des femmes de ces îles, et qu’ici on n’a pas.

Fleur de lotus aussi, j’aurais pu te nommer,
Tu séduis par ton charme, tu respires la santé,
Tu illumines ceux, qui sont à tes côté,
Ta nature pétillante, irradie sans compter.

Tu es l’écume des mers, dans ta féminité,
Dont les dentelles sont, de satin toutes tissées,
Tellement caressante en mère et protectrice,
Tellement femme aussi, et amante épanouie.
    Théâtrale à tes heures, ma sorcière bien aimée,
Tu sais de chaudes couleurs, savamment te parer,
Des décors de rêves, tu sais nous concocter,
Et des plats délicieux, restant à savourer.

Cette générosité, tu la portes en toi,
La gratitude fait aussi partie de toi,
Et l’amour que tu mets, dans tout ce que tu donnes,
Font de toi cette sublime et magnifique personne.

Et, toujours à l’écoute de ta petite voix,
C’est elle qui te met, toujours sur la bonne voie,
C’est elle que tu suis, celle qui guide tes pas,
À qui tu donnes raison, t’évitant les faux-pas.

Colorée dans  ta vie et dans ton verbe aussi,
Tu joues de tes talents, tu ris avec la vie,
Tu apportes la joie et la légèreté,
Car tu sais redonner ta créativité.

Espiègle et malicieuse, et fabuleux cadeau,
Tu es la magicienne qui sort de son chapeau,
Ses trésors merveilleux, ses dons de guérison,
Tu es un être profond, rempli de compassion.

Tout comme l’arc-en-ciel, tu es le lien sur terre,
Le lien entre Gaia, et LA Divine Mère,
Qui de la création, unit les éléments,
Qui de son pont, la Terre et le Ciel, reli-ant.

Cette amie qu’on recherche et qu’on veut honorer,
C’est toi, ma toute Belle, ma déesse adorée,
Toi, du feu d’artifice,  le bouquet final,
Qui me laisse les yeux, d’un brillant peu banal.

Je te serre maintenant, très, très fort sur mon cœur,
En un immense et tendre sentiment de bonheur,
Et je te dis Merci, d’être là dans ma vie,
D’être ce que tu Es, vibrante de magie.

Je t’aime, …à l’infini…

Brigitte

vendredi 3 décembre 2010

La vie est un chemin de Compostelle

Puisque la vie est un chemin de Compostelle,
Sauras-tu d’elle en dénouer toutes les ficelles?
C’est un chemin  sur lequel tu avances pas à pas,
T’apportant quelque chose que tu ne connais pas.

T’apportant le meilleur de ce qu’elle peut donner,
Tu en fais ton amie avec sérénité,
Et tu gardes le cap, comme sur ce beau voilier,
Qu’un jour tu as su, à destination, mener.

Tels ces grands samouraïs japonais d’autrefois,
Tu aimes à  pratiquer tous ces arts, qui pour toi,
Sont bien plus que de simples techniques de combats,
Des arts pour se centrer, des arts pour être, là.

Tout comme le  golf, d’ailleurs, dans  lequel tu excelles,
Faisant de toi un prof, aux méthodes sans pareilles,
Car ces sports tu les as, bien longtemps enseignés,
Aux étudiants venus à tes cours, assister.

Bon élève apprenant, la sagesse des anciens,
Pratiquant des rituels d’ancêtres amérindiens,
En quête de visions pour mieux te diriger,
Tu sais guider les autres, monter des feux sacrés.

Et quand ta voix limpide, entonne de l’aigle, le chant,
Entonne le chant du cœur, fait vibrer en dedans,
Alors tous, nous sentons cet appel qui gronde,
Pour chanter avec toi, chanter le chant du monde.

En un mouvement sacré, tournés vers la nature,
Séduits par sa beauté, sa grandeur, ses parures,
Derrière toi nous allons, vénérer ses espaces,
Écouter les messages des arbres, que tu enlaces.

Toi, l’initiateur du concensus-ressenti,
Que nous avons ensemble pratiqué et mûri,
Tu as su nous apprendre, le respect du silence,
Afin de ressentir, d’accueillir, en présence.

    En haut du mont Shasta, ta quête t’a mené,
Au centre de la Terre, là, tu as voyagé,
Et les Intra-terrestres, tu les as rencontrés,
Dans d’autres dimensions, pour d’autres amitiés.

As-tu enfin compris, par ton long cheminement,
Des Tables d’Émeraude, tous leurs enseignements,
Dans les Salles d’Amanti, tu as pu pénétrer,
De la présence de Toth, tu as pu profiter.

Pèlerin pour toi-même pour ta quête intérieure,
Suivant le mieux possible, ton Être Supérieur,
Jouant avec la vie, riant de ses clins d’œil,
Recherchant La Lumière de partout, qui t’accueille.

Allant sans faire d’effort, et laissant la voie libre,
À tout ce qui doit être, à ce qui doit se vivre,
Cadeau de l’Éternel, comme tu l’as choisi,
Tout comme une suite logique, là ici, dans ta vie.

Puis, c’est sur la voie de ta Souveraineté,
Et que la vie te met, au défi de prouver,
De transmuter de la justice, la parodie,
Pour jouir de tes droits innés et de la vraie Vie.

De tout ton I UNA, si près de son essence,
Et de ton droit divin, de ton droit de naissance,
Libre tu es, dans la paix de ton Âme aimée,
Car, dans la Voie du Cœur, là est la Vérité.

Dans la joie du moment présent, qui se fait Un,
Réunissant nos cœurs, fredonnant le refrain,
D’un même Amour qui chante, qui danse et puis qui rit,
Dans l’Être que Tu es, dans celui que Je Suis….

Je t’aime I Una,

Brigitte

samedi 27 novembre 2010

Au cœur du monde

Quelque part sur cette Terre, il est un Être unique,
Parcourant les espaces, de l’Inde à l’Amérique,
Qui dans son existence, a beaucoup voyagé,
A beaucoup sillonné, en quête d’éternité.

Partout, il est allé, pour chercher Sa présence,
Pour un jour La trouver, contre toute espérance,
Car son âme La cherchait, pour lui, de tout son Être,
Et la lui présenta par la Voie de Son Maître.

Il a trouvé Son Maître, il a trouvé sa voie,
Son Maître qui maintenant, le guide dans la joie,
Le presse à évoluer, l’amène à s’épurer,
À retrouver la trace, de son identité.

Cet être qui s’est cherché et qui s’est retrouvé,
Pour se redéfinir, si loin s’en est allé,
Pour se retrouver dans, l’ici et maintenant,
Le non lieu, le non temps, de ce moment présent.

Cet être est un ami, dont l’âme est généreuse,
Et dont la vibration de la joie est porteuse,
Après avoir donné, donne et redonne encore,
À seule fin déverser de son cœur, tout l’or.

Au cœur du monde, partout tu L’as cherchée,
Au cœur du monde, partout tu L’as trouvée,
Partout tu L’as trouvée, La Présence Divine,
Qui chaque jour t’anime, et ta vie illumine.

Dans le regard de l’autre, et dans sa profondeur,
Son âme te rappelle, pour ton plus grand bonheur,
Que là est le Divin, à qui tu tends la main,
Et à qui ton cœur s’ouvre, aujourd’hui et demain.

Par delà l’illusion de la séparation,
Dans l’Amour, l’Unité, et dans la joie du Don,
Tu offres ton amour, tu partages qui tu es,
Ton amour de l’Amour du Suprême, à jamais.

La beauté qui t’entoure, c’est ton Dieu, qui en toi,
Te la montre et te dit, qu’elle est Lui, qu’elle est toi,
En chaque parcelle de vie, en chaque grain de sable,
Il te sourit ainsi, jusqu’à l’impénétrable.

Merci à toi Belle Âme, voyageur mon ami,
D’avoir touché mon âme, de l’avoir embellie,
De lui avoir montré à travers ta beauté,
Sa richesse intérieure, dans son immensité.

Et puis du même Amour, dont nous sommes issus,
De l’Amour qui est UN, de l’Amour qui est Pur,
Je viens te dire : «  je t’aime », je viens te dire merci,
Pour tout ce que tu as, apporté dans ma vie.

Brigitte

jeudi 18 novembre 2010

À petits pas feutrés…

A petits pas feutrés, elle avance dans la vie,
Pour ne pas bousculer, autour, les endormis,
En douceur, elle leur montre, que pas à pas on peut,
Devenir grand et beau, vibrant et merveilleux.

C’est de par sa recherche, qu’elle a approfondi,
Sa quête de son Soi, son amant, son ami,
Qu’un jour, elle a touché, à son Être Divin,
Celui qui règne en elle, en Maître et Souverain.

De sa terre natale, bien loin, elle est allée,
Dans des contrées sauvages, pour mieux se retrouver,
Là ou la mer au large, roule ses vagues bleues,
Là ou le sable brûle, sous les pieds comme le feu.

Là, au cœur de la nature, immense et généreuse,
Elle se sent transportée, dans une transe amoureuse,
Là, quand la connexion se fait sublime et forte,
Toutes les larmes de joie, se déversent de son corps.

Sa vie est un roman d’amour envers la création,
Envers tout ce qui fait son champ d’exploration,
La gratitude  pour  elle, est moyen d’expression,
Reconnaissant ainsi, sa divine condition.

Cherchant ces lieux secrets, hautement vibratoires,
Là, elle aime à se rendre, dans d’autres territoires,
Pour aider la Terre-Mère, à se purifi-er,
Elle en fait la mission, d’une vie de qualité.

Afin d’ancrer sur Terre, la nouvelle vibration,
Pour qu’enfin, Gaia puisse, faire son ascension,
Elle part pour des voyages, parfois initiatiques,
Toujours évolutifs, bien souvent atypiques.

   Elle fait des ateliers, pour son évolution,
Pour donner à sa vie, une plus grande expansion,
Avec des êtres beaux, et vibrants et profonds,
Qui sont tous dans leur cœur, des êtres d’exception.

Touchée par la beauté, de tout ce qui l’entoure,
Éblouie par la Grâce, qu’elle porte avec amour,
Elle nous offre son cœur, et comme toute tendresse,
Elle nous offre la joie d’une infinie caresse.

La saveur de la vie, oui, elle sait la goûter,
Le goût de la vraie vie, elle peut vous en parler,
Elle sait de ses yeux voir, ce que d’autres n’ont vu,
Elle sait sentir l’essence, dont chacun est pourvu.

Ses sens sont l’essence, dont son âme se nourrit,
Pour engendrer la joie, pour embellir la vie,
Pure, spontanée elle est, comme la joie de l’enfant,
Qui les yeux plein d’étoiles, regardent le firmament.

Et tout comme eux elle a, les prunelles qui scintillent,
Qui font de sa présence, une belle âme qui brille,
Qui  illumine chacun, de son regard profond,
Comme deux lagons d’or, dans lesquels on se fond.

L’étincelle divine que dans ton cœur, tu portes,
Oui , je la vois en toi, rayonner, de telle sorte,
Que je ne peux te dire, qu’un chaleureux merci,
De faire ainsi partie, de ma vie, comme amie.

Je t’aime…

Brigitte

vendredi 12 novembre 2010

Communion d'âmes

   Entendez-vous, dans le lointain,
   Tinter les cloches cristallines?
   Entendez-vous, dans le lointain,
   Les anges sonner les matines?

    Ils vous invitent, voyez-vous,
    À venir tous, vous rassembler,
    Car aujourd’hui, est jour d’Amour,
    D’Union et de Festivités.

   Oui, aujourd’hui, à la Belle Verte,
   Un mariage, va se célébrer,
   Un mariage qui saura, certes,
   Dans le temps et la forme évoluer.

   Vos deux âmes se sont rencontrées,
   Afin d’unir, vos deux destins,
   Pour grandir et se transformer,
    Pour ensemble, faire le chemin.
     
    C’est dans votre beauté divine,
    Que vos âmes se sont reconnues,
    Pour fusionner dans l’Un connu,
    Afin de n’en former plus qu’une.

    J’ai entendu battre vos cœurs,
    À l’unisson de vos pensées,
    J’ai vu le feu de votre amour,
    De sa flamme, vous embraser.

    Tout comme le buisson ardent,
    Tout comme l’écume de la mer,
    Laissez-vous porter par le vent,
    Afin qu’émerge une nouvelle ère.

    C’est dans le mystère de la vie,
    L’impalpable trésor, qu’elle vous offre,
    Au-delà de tous vos ennuis,
    Que de cadeaux sortent, de son coffre!

    Tantôt, de merveilleux amis,
    Tout autour de vous réunis,
    En un jour, comme celui-ci,
    Comme tant, d’autres vécus, ici.

    Tantôt, de splendides rencontres,
    Tantôt de merveilleux partages,
    Des Êtres, de l’au-delà se montrent!
    Toujours, elle donne davantage.

    
         Savourer le festin du temps,
     Chanter cette journée d’allégresse,
     Embaumer l’air effervescent,
     Des effluves de fleurs de tendresse.

     Danser la danse de l’Amour,
     Valser sur la musique des sphères,
     Jouer, tout comme au premier jour,
     Savoir jouir de la Terre-Mère.

    C’est une promesse d’amour infini,
    Envers vous-même, envers la vie,
    Que devant le Suprême, ici,
    Vous vous donnez, dans l’harmonie.

    L’engagement envers vous-même,
    De vous aimer, de vous chérir,
    De laisser l’autre se choisir,
    Inconditionnellement, à loisir.

    Au-delà du vouloir, du savoir,
    Dans le pur état d’Êtreté,
    Vous choisissez votre miroir,
    Pour des moments d’éternité.

    Amour, Paix, Joie et Harmonie,
    Gratitude, tout au long de vos vies,
    Mes vœux les plus chers, je vous les sers,
    Sur un plateau, comme un dessert.
  

   Brigitte

vendredi 5 novembre 2010

LE PETIT PRINCE …

S’il te plaît, dessine-moi un mouton…

Il est un prince en belles Laurentides,
Un prince errant, cherchant ses origines,
Il est un prince en belles Laurentides,
Vivant près de sa dame, aux cheveux de platine.

On ne sait trop de quelle planète, il vient,
Vraiment pas de chez nous, diraient certains,
Mais, vu par le plus commun des mortels,
Un drôle de phénomène, tombé du ciel.

Un extra terrestre avec des antennes,
Humanoïde à étrange dégaine,
S’en allant les pieds nus, sur les sentiers.
Pour notre Terre, la Belle Verte, explorer.

D’un tout autre temps, d’un tout autre lieu,
Un drôle de gars, ne faisant pas sérieux,
Au gré du vent, les cheveux en bataille,
Cherchant un nouveau défi à sa taille.

Ce drôle de phénomène, messieurs, mesdames,
Étudie, approfondit et s’enflamme,
Pour des sujets plutôt controversés,
En faisant joyeusement, sa tasse de thé.

Expérimentateur, à tout venant,
Il avale tout, tout cru, évidemment,
Tout ce qui peut lui tomber sous la dent,
Et même du prâna, ultérieurement.

Quel que soit le genre de nourriture,
Il l’ingère vivante et sans parures,
Puisqu’il en dévore même les pelures,
Quand d’autres les mettraient aux ordures.

Il en connaît long, sur certaines familles,
Sur leurs mœurs et leur contrôle sur nos vies,
Cet être éclairé quand ça le titille,
Fourre son nez là, ou ce n’est pas permis.

Rien ne peut échapper à son rôle,
De recherche de vérités non avouées,
Mais la vraie vérité est sous contrôle,
D’humains, inhumains non identifiés.

Il aime à plaisanter, à raconter,
Il en a tant, d’histoires à nous narrer,
Sur tous les tons et de toutes les sortes,
S’ennuyer avec lui reste lettre morte.

Son rire vibrant, est tout comme l’écho,
Allant au gré du vent, comme un tempo,
Il s’envole, vire-vole et rebondit,
Communicant sa joie, remplie de vie.

Au bord du lac, il s’en va en marchant,
Bien loin, loin, loin, il s’en va en courant,
Bien loin d’un monde qu’il cherche à comprendre,
Pour un beau jour, sa liberté reprendre.

Le vent l’a-t-il perdu, ou égaré ?
Vient –il d’une planète harmonisée?
Vient-il d’une toute autre galaxie,
Pour jouer sur Terre, avec ses amis ?

Extra terrestre venu pour évoluer,
Devenu un terrestre, très apprécié,
Il est un être cher pour tous ses amis,
Profond en son âme et qui nous réjouit.

C’est lui, le petit prince au si grand cœur,
Qui rêve chaque jour, d’un monde meilleur,
Le petit prince de son propre royaume,
Heureux, fier d’être un mouton noir, en somme.

Merci Petit Prince, d’être notre ami,
Merci d’être entré si gaiement dans nos vies,
Afin de pouvoir, près de toi, partager,
De grands moments d’amour et d’amitié.

C’est le cœur plein d’amour, que je te dis…
Encore une fois, et pour la poésie…
Donne-moi une rose en bouton,
S’il te plait, dessine-moi un mouton...

Brigitte

samedi 30 octobre 2010

Et le ruisseau murmurait…

L’air était frais et le ciel était bleu,
Et le ruisseau murmurait tout joyeux,
« C’est toi qu’il faut fêter, c’est toi qu’il faut fêter! »
J’ai entendu le ruisseau fredonner.
De lumière, de paillettes, il s’est paré,
Pour toi, en cette belle journée d’été.
Depuis sa source, d’où un jour il jaillit,
Depuis, il suit son cours, il vit sa vie.

Il appréhende les méandres de sa vie,
Un jour, sillonnant les paisibles prairies,
Un autre, dévalant en cascades abruptes,
Les rocs acérés, sur son chemin de luttes.
Voici qu’un beau matin, au détour du chemin,
Une rivière d’argent apparut là, devant.
Ouvrant tout grand ses bras, elle lui dit avec joie : 
  « Viens te fondre en moi, mon enfant, viens. Sois- moi ! »
Et le petit ruisseau devenu une rivière,
Avec bien plus de force et de tempérament,
Poursuit sa route, imperturbable et fier,
De cette union nouvelle du petit et du grand.
En s’unissant ainsi à sa douce compagne,
Il engendre l’amour et la joie et la vie,
Et le fleuve plus bas, les attend en campagne,
Pour encore plus donner, d’expansion à leurs vies.

Et puis, devenu fleuve, il sait faire sa place,
Il sait maintenant prendre, librement son espace.
Ses terrains d’aventures, il sait se les choisir,
De la sagesse qui s’installe, il peut en jouir.
Et c’est jusqu’à la mer, qu’il s’aventure ainsi,
Il la retrouve enfin, en son immensité,
À sa splendeur, il se mêle, ainsi qu’il l’a choisi,
Le voilà, Océan, Unité retrouvée.

La vie a fait de toi, rien d’autre que toi-même,
De toi et de toi-même son unique héros,
À qui il reste, tant et tant de beaux rêves,
Comme celui de voler, dans le ciel tout là-haut.
Est-ce pour mieux avoir, depuis le firmament,
Une vision plus ample, plus large de la vie ?
Est-ce pour mieux la voir, de par l’éloignement,
La voir si belle à croquer, et qui te sourit?
Brigitte

dimanche 24 octobre 2010

Parlez-moi…je suis tout l’ouiiiiiiiiiiiiiie !

Parlez –moi  donc de l’ouïe, je vous mets à l’écoute,
Parlez sans faire de bruit, pour que l’ouïe se déroute,
Laissez chanter le son, oubliez la chanson,
Ressentez, ça résonne dans votre pavillon.

Captez dans vos oreilles, le son de l’Univers,
Le son Un, le son qui, vous met tout à l’envers,
Vous met tout à l’endroit, le son qui tourne en rond,
Qui tourne, qui tourbillonne comme un colimaçon.

Il aspire à voler, il  aspire à chanter,
À tourner comme un fou, pour d’ici décoller,
Et puis se retrouver dans des mondes parallèles,
Tout comme si on s’était, fait pousser une paire d’ailes.

Pour rencontrer bientôt, dans toutes ces galaxies,
Des Êtres rayonnant, qui seront nos amis?
Des êtres lumineux, frères de l’Un voyageant,
Venus nous inviter, dans leurs vaisseaux d’argent?

Petit frère des étoiles, voudrais-tu bien me dire,
D’où Tu viens ? Qui tu es ? Quel est ton point de mire?
C’est ta voix que je crois, entendre me répondre.
Ah! Ça! C’est dans ma tête que tu viens me confondre!

Compagnon d’un autre âge, frère d’une autre vie,
Si toi tu me connais, je te connais aussi,
Sur cette planète Terre, nous nous sommes retrouvés,
Pour mieux nous souvenir, de notre identité.

Car, Notre Souveraineté, qui dès lors se dessine
Nous rappelle chaque jour, notre essence divine,
Notre noble appartenance à toute l’Immensité,
Puisque depuis longtemps, nous sommes déjà nés.

Quand il te prend, de faire quelques révélations,
Sur un sujet qui vibre, tu portes notre attention,
Et tel un diapason, tu  nous donnes le ton,
Juste par l’intensité, de ta propre vibration.

Pour écouter le son, pour nous donner le ton,
Le ton de nos couleurs et de leurs vibrations,
Sur ton orgue tu joues; les notes s’entremêlent…
Les notes se font Une, les notes se démêlent.

Et je sais que tu sais, que nous appartenons,
Tout deux, sans aucun doute, à d’autres dimensions,
En d’autres espaces et lieux, là nous nous retrouvons,
Comme dans un rêve bleu et blanc à l’horizon.
.
Et pour n’être pas né, que pour naître pas nez,
Aujourd’hui, tu es donc, un autre nouveau né,
Et pour n’être pas vue, que pour naître pas vu,
Aujourd’hui tu es l’ouïe; demain, qui seras-tu ?

Je t’aime d’ici et d’ailleurs

Brigitte

dimanche 17 octobre 2010

Au-delà du visible, j’ai touché l’ UNvisible

En montagne, au cœur de sa chevelure en feu,
Existe un bel endroit, vibrant et merveilleux,
Au bord d’un lac, miroitant d’argent et d’azur,
Se cache un nid douillet, dont les branches murmurent.

Elles murmurent et susurrent des mots à mon oreille,
Qui parlent de feuillages aux couleurs sans pareilles,
Des couleurs de l’automne qui réchauffent les cœurs,
Les cœurs des deux oiseaux, dans leur nid de bonheur.

Pendant le bal des feuilles, les oiseaux de ce nid,
Pour faire leur traversée vers un autre pays,
Font leurs préparatifs, pour bientôt s’envoler;
Sur un autre continent, ils s’en vont s’installer.

Ils s’en vont bientôt faire, leur migration d’hiver,
Là-bas, tout là-bas, de l’autre côté de la mer,
Pour nous mieux revenir, riches de nouveautés,
Pour nous mieux revenir, à la saison d’été.

Ces deux oiseaux sont deux, sont deux de mes amis,
Chers à mon cœur, riches en présence, chers à ma vie,
Uniques et précieux, comme l’or des feuillages,
Qui inonde à l’automne, ces splendides paysages.

Vous êtes comme ces feuilles, tellement riches en nuances,
Riches et prospères, de toutes vos précieuses expériences,
Riches des graines d’amour, que vous avez semées,
Que vous avez données et que vous récoltez.

Vos deux cœurs sont si gros, gros comme deux soleils,
Qui, lors de chaque rencontre, rayonnent et émerveillent,
Et n’a d’égal, à votre générosité,
Que votre gratitude envers La Déité.

De toute votre brillance et toute votre radiance,
Par votre chaleureuse et magnifique présence,
Vous êtes venus soudain, illuminer nos vies,
Et de toute votre grâce, les avez enrichies.

Au cœur de cette nature que vous chérissez tant,
Que vous savez louer, respecter en tout temps,
Nous nous sommes trouvés, un beau jour de l’été,
En ce lieu de rencontres qu’est le marché d’été.

Il a suffi, d’un presque rien, bien anodin,
Cette rencontre de cœurs, nous a tendu la main,
Puis elle s’est étendue, ensuite, à nos amis,
Qui sont aussi devenus, à leur tour, vos amis.

Nous nous sentons si bien ensemble, si confidents,
Comme le sont, si spontanément les enfants,
C’est que, cet amour spontané qui est né,
Pour la bonne cause, un jour a été programmé.

De vies en vies, nos âmes qui se reconnaissent,
Et qui se retrouvent pour fêter, dans l’allégresse,
Cherchent, toutes sortes de prétextes pour s’inviter,
Jouent à se revoir, pour la joie de partager.

Or, puisque vous avez crée d’autres beaux plans,
Qui s’esquivent et se dessinent plus loin devant,
Et que vous prévoyez, dans un avenir prochain,
De partir, loin de nous, sur un tout autre train.

Alors, ce soir, comme nous sommes encore ensemble,
Et qui sommes l’Un qui, ici, se rassemble,
Rions, fêtons, de notre Unité retrouvée,
De notre Conscience de n’être jamais séparés.

Nous tous, quelques parties de Son Infinitude,
Nous, poussières d’étoiles de toute Sa Magnitude,
Nous tous, quelques parties de sa Totalité,
La trame de Sa toile à jamais dévoilée.

Pendant que nos cœurs aimants, battent à l’unisson,
Nous, tous ensemble, levons-nous et affirmons,
Alors que leurs rythmes puissants ne font plus qu’un,
La non-séparation, dans le choix d’être Un.

Ancrons, dans l’Ici et Maintenant, de ce moment,
Notre filiation divine en un seul son vibrant.
Le son de l’Amour Un, au-delà des distances,
Dans un élan de cœurs, qui en fait la puissance.

Et puis, pleurons l’allégresse et rions la tristesse,
Dans l’immense richesse que sont nos émotions,
Fêtons ensemble, notre belle famille de lumière,
Dans la gratitude, soyons, d’être nés sœurs et frères.

Et par delà les monts, par delà les rivières,
Par delà les frontières et par delà les mers,
Il est un lieu secret, au plus profond de nous,
Un espace lumineux qui n’appartient qu’à nous.

C’est le non –lieu, le non-temps du moment présent,
Au-delà de l’espace et au-delà du temps,
Dans l’éclair d’une pensée, d’un instant d’unité,
Là nous nous retrouvons, là nous nous étreignons.

Et cette vibration, cette étreinte d’union,
Reste là à jamais, comme notre trait d’union,
À jamais, reste là, cette empreinte en nos cœurs,
Vibration merveilleuse, aux mille et une saveurs.

Alors, souvenons-nous, qu’au plus profond de nous,
Il n’y a qu’un Seul Cœur, il n’y a qu’un Seul Amour,
Un instant, une pensée, une vibration retrouvée,
Dans l’absence du manque, une conscience d’Unité.

Tous pour l’UN et L’UN pour Tous,
Ce sera désormais, notre devise à tous.

Au-delà du visible, j’ai touché l’UNvisible.

Brigitte

jeudi 14 octobre 2010

Perle de rosée

J’ai recueilli ce matin,
Dans le creux de ma main,
Une perle de rosée,
De lumière, toute habillée.

La voyant si divinement parée,
De transparence, de translucidité,
C’est toi, qui es venue à ma pensée,
Et, c’était toi, cette perle de rosée!

Oui, c’est à toi que j’ai pensé,
À toi, pour te raconter…
Car seule, une goutte de rosée
Pouvait, te caractériser ?

Ma pensée s’est envolée vers toi,
Et tu étais là, près de moi,
Dans la beauté de ce jardin fleuri,
Aux mille fleurs épanouies.

Tout comme toi, ma toute belle,
Elles ont quelque chose qui m’interpelle,
Quelque chose d’unique, de pur,
Rayonnantes, d’une beauté sûre.

De cette beauté que l’on ne voit,
Qu’avec les yeux de l’intérieur,
Douce et subtile, à la fois,
Et qui rayonne à travers toi.

La main du Suprême a semé,
Tant de grâce et de beauté,
En cette perle de rosée,
Que sur mon cœur, je l’ai posée.

Car, de ton âme, c’est le miroir,
Reflet, que j’ai pu percevoir,
De sa pureté originelle,
Dieu ! Que ton âme est belle !

Elle a tant cherché le Divin…
De vies en vies, sur son chemin,
Avec certitude, elle avance,
Aux travers de ses expériences.

Elle a su retrouvé la route,
Du grand Retour à la Maison,
Dans la joie, sans aucun doute.
J’admire sa détermination !

C’est avec amour, mon amie,
Ma toute belle, que je te dis,
Que je te dis, aussi, merci,
Merci d’être dans ma vie.

Brigitte

mardi 12 octobre 2010

Ainsi danse la libellule

Pour sa ballade, au clair de lune,
Dans sa jolie robe de tulle,
Sous un ciel d’étoiles, à la brune,
Ainsi, danse la libellule.

Princesse de la nature, au bal
Légère, comme une plume au vent,
Au bal des roses qui exhalent,
Elle se laisse porter par le temps.

Offrant sa beauté, sa souplesse,
Ses arabesques, au monde, livrant,
Attire un ver, luisant de promesses,
Pour partager, de beaux moments.

De cette rencontre lutine,
Est née une communion câline,
Un amour fertile qui engendre,
Qui crée la vie, qui se fait tendre.

Et notre précieuse libellule,
Sa taille de guêpe, délaissant
Se retire parfois dans sa bulle,
Caressant son ventre grossissant.

Tout en bâtissant un beau nid,
Pour leur progéniture en chemin,
Un joli cocon tout fleuri,
De rêves de beaux lendemains.

Et sous la Protection Divine,
Leur amour grandit chaque jour,
Nourrissant leurs fées cristallines,
Lovées dans un grand nid d’amour.

Jeune femme, belle et souveraine,
Magnificence de femme épanouie,
Bientôt mère en donnant la vie,
Deviendra alors une reine…

Voici l’histoire, de la demoiselle,
Qui rencontrant son damoiseau,
Qui l’aimant, l’a pris sous son aile,
La chérissant, de ses doux mots.

Car, libellule et vers luisant,
Vous le comprendrez, maintenant,
Ne peuvent qu’engendrer en ces temps,
Deux âmes translucides, deux enfants…

Deux lucioles, prêtes à s’envoler,
Tout là-haut vers le firmament,
Pour de leurs propres ailes voler,
Et veiller sur leurs deux parents.

À toi, ma belle, je te dis,
À travers tous ces mots qui dansent,
Combien je t’aime et t’apprécie,
Au-delà des lieux, des distances.

Je t’aime et suis là, dans ta vie ,
À tes côtés, par la pensée…
Je te serre très fort sur mon cœur,
En une vibration de bonheur.

Brigitte

dimanche 3 octobre 2010

Do, Ré, Mi, la perdrix …,

   Connaissez-vous, l’homme des bois,
Les parcourant de long en large,
Celui qu’on aperçoit, parfois,
Caché, derrière le tronc des arbres?  

La forêt est sa cathédrale,
Son sanctuaire, son logis,
Il aime retrouver ses dédales,
Cet espace de vie, fait pour lui.              

C’est sur sa mousse, qu’il se couche,
Sur ce lit fait à sa mesure,
Son odeur musquée, le rassure,
Riche parfum, exhalant sa touche.

La forêt, c’est sa souveraine,
Son amante de chaque jour,
Découvrant sa beauté de reine,
Il se met à lui faire la cour.

Il caresse de son regard,
Sa robe flamboyante, soudain,
Rouge, jaune ou orange est son far,
À l’automne, quand rousse, elle devient.

Elle lui ouvre son palais de glace,
Quand de blanc, elle orne ses espaces,
Et quand de vert tendre elle se pare,
Il lui ouvre son cœur de tzar.

L’été la voit mûrir son vert,
Fleurir son sol, offrir ses baies, 
Ses champignons appétissants,
L’été, elle va, le nourrissant.

La forêt, sa vie, son domaine,
Il la connaît du bout des doigts
Parmi les dévas des fontaines,
Les lutins, les gnomes des sous-bois.

Tous ses êtres, peuplent son royaume,
Dont il est maître, seigneur et roi,
Leur prince aimé, sous ce grand dôme,
Que forment les cimes, en guise de toit.

Des arbres, il entend le murmure,
Et leurs messages guident ses pas,           
Ils lui racontent le futur,
Ils veillent sur lui, là ou il va.

Il les connaît, mieux que personne,
Toutes leurs essences, il a appris,
Nul secret entre eux,  ils se donnent,
Ils s’enlacent, comme des amis.             

Dans le torrent, parfois il plonge,
Et sur le rocher, il s’allonge,
Pour se sécher, au vent d’été,
Lors de journées ensoleillées.

Dans cet océan de beauté,
Effleurant, la mousse étoilée,
De son pas sûr et décidé,
Rémi avance d’un pas léger.

Si tu aimes autant cette merveille,
La nature, dans toute sa splendeur,
Comme elle, tu es, tout pareil,
Riche d’amour, riche dans ton cœur.

Elle est le miroir de ton être,
Que je sais beau, à l’intérieur,
Pur comme un enfant qui va naître, 
Que je sens vibrant et rieur.           

Cette liberté, tu la chéris,
Et ta vie, tu te la choisis,
De tes préférences, tu ne fais,
Aucun compromis, c’est un fait!

Bravo et, continue ainsi,
Car tu as trouvé, le moyen,
De vivre heureux dans ce jardin.
La nature t’offre un paradis!

Merci, aussi de me montrer,
Comment les désirs exprimer,
Do, Ré, Mi, je finis ainsi,
Merci, d’être ainsi dans ma vie.            

Brigitte

mercredi 29 septembre 2010

La Dame de sept heures

Par delà les montagnes, il est un paradis 
Un petit coin de rêves, que chaque jour embellit 
La maison y accueille, dans son aire chaleureuse, 
Ceux qui veulent y vivre, des amitiés heureuses. 

La dame de sept heures, se lève tôt matin, 
Pour aller de bonne heure, le jardin, visiter, 
La dame de sept heures, se lève tôt matin, 
Pour aller, le jardin qui s’éveille, contempler. 

Et les fleurs du jardin, la saluent chaque jour, 
De sa main, doucement, elle caresse leur velours, 
Se penchant, lentement pour sentir leurs parfums, 
Elle frémit de plaisir, de ces échanges divins. 

À son jardin, elle offre une si belle ouverture, 
Le meilleur d’elle-même, dans sa beauté si pure, 
À l’écoute de chaque plante, pour la bien mieux servir, 
Pour lui bien mieux donner, ce qui va la nourrir. 

La dame de sept heures a aussi les pouces verts, 
Et de ses doigts de fée, quand elle les met en terre, 
Les jeunes plants se mettent, à pousser au grand jour, 
Transformant chaque jour, son beau jardin d’amour. 

Entourée de lutins, des dévas de la terre, 
Protégeant son jardin, le couvrant de lumière, 
Elle fait vibrer ces lieux, de paix et de bonheur, 
Transformant, par là-même, son jardin intérieur.

La dame de sept heures a aussi un ami, 
Un amant de sept heures, pour partager son lit, 
Dont la présence aimée, près d’elle, la ravit, 
Ce beau miroir d’amour, que lui offre la vie.

Elle est comme son nom, symbole de beauté, 
Dont la noble Dame sait, autour d’elle s’entourer, 
Et le beau, elle le cherche, le sème et l’entretien, 
Créant un lieu de charme, de ses propres mains.

Elle offre sa maison pour des « repas-partages »,
Pour des soirées privées, d’échanges, pour tous les âges, 
Des soirées de musique, et de chants, et de danses, 
Pour fêter les amis, et même pour les romances.

Et puis, quand ça lui tente, elle fait des conférences, 
Thérapeute à ses heures, pour parler de croissance, 
Elle aime organiser, recevoir, échanger, 
Avec sa famille d’âmes, de spiritualité. 

Elle aime, à se vêtir, des plus élégamment,  
Et tout, lui va à ravir, bien évidemment, 
Évoluant avec grâce et avec élégance, 
Elle semble avoir gardé, l’innocence de l’enfance. 

Son grand sourire nous charme, nous invite à l’échange, 
Glissant à pas légers, comme le ferait un ange, 
Nous remplissant la vie, de son éclat de rire, 
Nous remplissant de joie, de gaieté, de plaisir. 

Et prenant le temps d’être, pour mieux se définir, 
Chaque jour que Dieu fait, elle sait mieux se choisir, 
Prenant le temps de faire, prenant le temps de vivre, 
Recevant le présent du moment, pour grandir. 

Majestueuse autant, que peut l’être une reine, 
Elle trône en souveraine, dans nos soirées mondaines, 
Elle initie le rythme, elle nous parle de ses choix, 
Tout comme, de ce qui fait de l’être aimé, son roi.

Elle transforme aisément, de par sa vibration, 
Ses devoirs en service, en offrande et en don, 
En service à donner, à toute l’humanité, 
Afin que puisse, ce paradis, ascensionner. 

De gratitude, elle a, pour ce que Gaia donne,  
Qui mûrit en son sein, ses offrandes qui foisonnent, 
Son cœur déborde d’amour, envers la Terre- mère, 
Fleur parmi les fleurs, de son paradis sur terre.

À toi, à toi, qui sait si bien ouvrir ton cœur, 
Qui sait ouvrir ton âme et ton esprit d’ailleurs, 
À toi, à toi, je dis : « Belle Dame, mon amie,
Veux-tu bien, dans ton cœur, recevoir, ce merci ».

Merci, pour être toi, Belle Dame de sept heures, 
Et mon amour pour toi, est celui d’une sœur, 
Il vient du plus profond de mon âme attendrie, 
Descendue près de toi, chanter l’hymne à la vie.
  
Brigitte
Poème inspiré lors d'un séjour à LaBelleVerte.org