jeudi 28 juillet 2016

Une Fleur-Fée,

Un arbre majestueux, qui me tend tous ses bras,
Comme cette femme-enfant  que dessine son tronc,
Me font penser à toi, belle âme, à cet instant,
M’amènent à  pénétrer les mystères du présent.

Ce sont ces mondes subtils, qui lorsqu’on y pend garde,
Viennent réveiller en nous, des mémoires d’autres vies,
Des vécus qui surgissent afin qu’on les regarde,
Avec les yeux du cœur, pour que l’amour sourît.

Chaque fois que je te vois arriver au marché,
Je me plais à te voir comme une fleur enchantée
Qui aurait délaissé son beau jardin doré,
Pour son sourire lutin, venir nous  distribuer.

Portée par ta longue tige, le pas bien assuré
De ta démarche souple, pleine de vivacité
Sous ton chapeau-corolle,  tu avances sereine,
Indépendante et libre, majestueuse en reine.

Fée au corps si léger, tu pourrais t’envoler
Pour rejoindre tes amis, avec eux folâtrer,
Dans les sous-bois où œuvrent les êtres du Petit Peuple
Près des cascades d’eau que les ondines contemplent.

Ton œil de photographe, d’artiste éclairée,
Sait particulièrement, au passage, les saisir.
Tu nous les offres ensuite sur des photos tirées,
Et nous les découvrons, toujours, avec plaisir.

D’astrologie, tu peux, nous parler bien longtemps,
Comme bien des sujets, parlant de d’autres temps
De d’autres mondes aussi, que tu as étudiés,
Ou que tu as captés, toutes antennes déployées.

Dis, combien de ces mondes as-tu pu contacter?
Dis, combien de réponses es-tu allée chercher?
Tu as tant voyagé, dans ton immensité,
Dans ton monde intérieur, au cœur de l’Unité.

Des bienfaits du plasma, tu peux nous en causer,
Comme vecteurs de bienfaits, pour toute l’humanité,
Comme champs d’énergies, vortex de création,
Avec lesquels  tu entres, en joyeuses vibrations.

Tout comme chacun de nous, tu portes tout en dedans,
L’Univers en entier, et toute la Connaissance,
En vibration tu entres avec la renaissance,
De chacune des cellules de ton corps transmutant.

Merci à toi belle âme, d’être venue jouer,
Ton rôle combien précieux, dans ce monde falsifié,
Dans lequel, belle fleur, tu croîs, sans te lasser,
Pour embellir le Tout, lui offrir ta beauté.

Je t’aime,

Brigitte