mardi 29 décembre 2015

POÉSIE POUR L'AN NEUF

Voilà qu’à pas de velours, la nouvelle année,
Chaussée de ses trois cents soixante et cinq souliers,
Arrive et vient  frapper, à ta porte d’entrée,
Pour t’offrir les cadeaux, qu’elle t’a réservés.

Les souliers de Janvier sont de blanc habillés,
Et leurs présents foisonnent de cristaux par milliers,
Reflétant de ta vie, tous ces miroirs croisés,
Irradiant la lumière que tu leur as semée.

Et ceux de février, t’offrent des pages blanches,
Ces pages que tu as, écrites en lettres franches,
À la lumière des jours, elles se révèleront,
Sources d’inspiration, de manifestations.

De mars les souliers, subtilement se remplissent,
De ces frémissements, de prémisses que tu sens,
T’annonçant l’arrivée prochaine du printemps,
Et de son explosion, préparée de long temps. 

Avril voit ses souliers, se remplir de sève,
Cette sève qui nourrit et fait vivre tes rêves,
De cette sève qui circule et qui donne la vie,
Et prépare en tes veines, ce sang neuf qui jaillit.

Et Mai les voit alors, regorger de bourgeons,
Qui se préparent pour, faire leurs floraisons,
Afin que la  beauté de ce mois se dévoile,
Celle que tu as semée, qui te vient des étoiles.

Et les souliers de Juin, fleurissent de bonheur,
Celui du renouveau, tu lui ouvres ton cœur,
Les jeunes poussent lèvent, celles que tu as chéries,
La magie du printemps, est celle de ta vie.

Juillet a des souliers, luisant de mille feux,
De ses souliers vernis, valsant aux jours heureux,
Recevant par milliers ses roses, en brassées,
Aux parfums des chemins que tu as sillonnés.

Et le mois d’Août les voit, dans ses douceurs d’été,
De ta magnificence étalant ta beauté,
Et le soleil plus chaud, rayonne de bonheur,
Et tu chantes ta joie de sentir sa chaleur.

Septembre  les rempliras encore plus d’allégresse,
Ces cornes d’abondance, qui te mettent en liesse,
Et qui font de ce mois, un mois plein de promesses,
Ouvrant ainsi la voie aux fruits de la tendresse.

De fruits vermeils regorgent, les souliers d’Octobre,
Ces fruits mûris en toi, tous au longs de ces mois,
Ces mois et ces années, passés à te connaître,
Et puis te reconnaître, pour que tu puisses renaître.

En Novembre tes souliers, se mettent à chanter,
Sur tes introspections, à chanter et danser,
Et ce sont de multiples voix qui les remplissent,
Et qui fêtent ta gloire, et qui te définissent.

En Décembre, tu bénis cette année écoulée,
De gratitude sont pleins, à craquer tes souliers,
Car de nombreux présents, elle a su t’apporter,
Ces multiples moments, de générosité.

Cette année n’est vraiment, que ce que tu en fais,
Sensible aux résonances que tu sais faire vibrer,
Semblables aux sons d’amour de ton cœur, ta Présence,
Lumineuse et vibrante, de ton Être l’essence.





                                                                                                            Brigitte

lundi 21 décembre 2015

il et né l'enfant divin en toi

Il est né le Divin Enfant,
Chantons tous, Son avènement!
Il est né, Celui qui en toi,
Attendait pour devenir Roi.

Il  est né  dans toute Sa splendeur,
Il est né dans toute Sa grandeur,
Il est né, l’Enfant adoré,
Pour t’apporter la joie d’aimer.

Il est né pour t’apprendre à jouer,
À voir la vie du bon côté,
Et pour t’apprendre à t’étonner,
T’apporter son innocence innée.

L’enfant Soleil, l’enfant Étoile,
Qui se tenait derrière le voile,
Venu te présenter sa toile,
Son Unicité se dévoile.

Et s’Il vient tout juste de naître,
Comment ne pas Le reconnaître?
À Lui, tu te relies souvent,
Lui, l’Amour grand comme l’océan.

Il te fait renaître à toi-même,
À ton essence, pour que tu aimes,
Que tu te tournes vers l’essentiel,
Ton essence venue du ciel.

Il fait de ta vie, ton projet sens,
Un projet dont tu connais l’essence,
Tu reconnais ton droit de naissance,
Tu bénis votre re-co-naissance.

Il était là, en gestation,
Bien lové dans Son blanc cocon,
Faisant que tu Le reconnaisses,
Pour qu’un jour, enfin tu renaisses.

Et voilà, qu’en ces temps de fêtes,
La connexion s’est enfin faite,
En ce jour de nativité,
Fêtons l’Enfant-Roi qui est né.

Et je salue en toi la Mère,
Toi, qui l’as porté en ton sein,
Et je salue en toi le Père,
Qui a crée cet enfant Un.

De l’Esprit du Père, conçu,
De la trame de la Mère, issu,
En toi, il y a fait Sa place,
Pour que la Trinité se fasse.

Votre  Divine Reconnexion,
Se réalise dans la fusion,
Votre Reconnexion Cosmique,
Explose dans son jardin ludique.

Noël, c’est la Paix dans ton cœur,
La Joie de vivre ce grand bonheur,
Noël, c’est l’Amour dans ta vie,
L’Union qu’il crée, par sa magie.

Il est né, le Divin Enfant,
En chacun de nous, en ce jour,
Il est né le Divin Enfant,
Chantons tous son avènement!

                                                                                                   Brigitte

mercredi 25 novembre 2015

Transcendance,

Ce matin le brouillard a mis dans son cocon,
Tout le beau paysage entourant la maison,
Il semble que se soient endormies les montagnes,
Et toute forme de vie parcourant la campagne.

Et tout comme dans le conte, qu’on raconte aux enfants,
Celui de la princesse, la belle aux bois dormant,
Le temps s’est arrêté, le souffle suspendu,
En attendant un jour, d’un prince la venue.

Tout parait si feutré, que je me sens l’envie,
L’envie de m’endormir, je me sens engourdie,
Et pour autant si bien, dans ce nid apaisant,
Tout comme l’est un enfant, dans les bras d’une maman.

Il n’y a rien à faire, seulement se laisser faire,
Seulement se laisser être, au sein de mère- terre,
Apprécier le silence, l’alchimie du cocon,
Dans laquelle la chenille devient un papillon

« Je suis Celle qui te porte, Je suis la Grande Mère,
Celle qui t’enveloppe, et le Soleil ton père,
Au-dessus du brouillard, brille de tous ses feux,
Dans un ciel sans nuage, il rayonne, chaleureux.

Car vois-tu, mon enfant, quand  le Prince du jour
Réveille son amie Terre, belle aux bois qui s’éveille,
Lors tous ses fils et filles, peuvent enfin voir l’amour,
Se déverser partout, comme une pluie de merveilles. »

Alors tout devient clair, alors tout s’illumine,
Le moment est venu de la Révélation,
Et plus rien il ne reste du voile de l’illusion,
Qu’une immense clarté… la Vérité s’anime.

La vue est dégagée, tous les possibles sont nés.
Ta lumière intérieure qui toujours a brillé,
En tourbillon  soudain, s’est alors propulsée,
Jusqu’à rejoindre la Source de tout ce qui est.

C’est à ta belle Lumière que je viens me relier,
Pour qu’avec toi, ami, nous allions nous greffer,
À la Grande Lumière de l’Unité sacrée,
Qui apporte la Paix dans son immense bonté.

Je t’aime,

Brigitte

vendredi 16 octobre 2015

Mystères de création,

Quel est donc le mystère de toute création,
Qui se retrouve inscrit sur le livre de la Vie,
Pour que lors d’un instant, s’éveille en nous la flamme,
Qui fait vibrer le chant, le doux chant de deux âmes?

Et quelle est cette histoire que tu veux nous conter,
Celle que tu as écrite, amie, en lettres dorées,
Dans le Grand Livre d’Or, le livre de Ta Vie,
Cette histoire qui commence, et qui t’épanouie?

Le livre de Ta Vie, vient de mettre soudain,
Un nouveau champ d’amour, possible, entre tes mains,
Pour élargir encore, les portes de ton cœur,
Et y laisser entrer l’amour d’une âme-sœur.

Vois, amie! Le bouton de rose que tu étais,
Vient d’ouvrir ses pétales, ses pétales arc en ciel,
Et étaler sa robe, sa robe de velours,
Pour s’en aller danser au grand bal de l’amour.

En t’ouvrant à une toute, nouvelle expérience,
D’un pas de deux rythmé, d’une toute jeune danse,
Et dont le tourbillon t’entraine à te connaître,
Au-delà de toi-même, jusqu’à te « re-co-naître ».

Au travers de celui, que ton âme a choisi,
Admire ta beauté, retrouve-toi en lui,
Et sans te perdre en  lui, ensemble cheminez,
Vers d’autres horizons qu’il vous reste à créer.

Aux portes de l’inconnu, vois ce qui t’est connu,
Cet Un que tu connais; tu peux le mettre à nu,
Tu peux te dévoiler, te laisser révéler,
Dans les grandes épousailles de vos âmes retrouvées.

Un plus un qui font deux, un plus un qui font mille,
Battant au même rythme, deux cœurs qui s’illuminent,
Deux êtres qui font un, c’est toi, c’est lui, c’est nous,
Dans le Tout, dans le Un, c’est ce chaque un de nous.

Je t’aime,

Brigitte

jeudi 20 août 2015

Mésanges, mes anges,


Un envol de mésanges a animé le ciel,
Leurs jeux dans le sapin, l’a soudain transformé,
En arbre de Noël, joyeusement animé,
Offrant par leurs doux chants, de gais cadeaux de miel.

Ce sont elles, aujourd’hui qui m’amènent près de toi,
Comme les tisserandes, de nos larmes de joie,
Elles tiennent dans leurs becs, les longs fils argentés,
De nos âmes qui un jour, ont su se retrouver.

Elles se sont reconnues, et elles se sont aimées,
Encore et puis encore, jamais se sont quittées,
Alors de vie en vie, elles se sont apportées,
Tout ce qu’il leur fallait, pour grandir en beauté.

Les mésanges ne sont que messagères des Cieux,
Elles nous montrent comment, communier avec eux,
Et leur effervescence, joyeuse qui nous enchante,
Nous guide vers notre essence, en spirale ascendante.

C’est pourquoi je t’envoie, le message de ces anges,
Qui glorifient chaque jour, la Source  de louanges,
Qui aiment et chantent la Vie, car elle est éternelle,
Qui donnent leur amour, d’un simple battement d’aile.

Oui, nous nous connaissions, depuis longtemps déjà,
Dans mon cœur, sache ami, que toujours tu seras,
Dans ce monde ou d’en d’autres, nous nous reconnaitrons,
Jusqu’à devenir et Un, dans la Grande Effusion.

Je t’aime,

Brigitte

mardi 23 juin 2015

Et ton chemin, chemine….

Nous voilà réunis, riant autour de toi,
Pour en ce jour béni, célébrer en sourdine.
Le soleil a pour toi, de ses rayons de joie,
Illuminé le ciel,  de sa chaleur divine.
   
Chacun de ses rayons a rejoint en nos cœurs,
Chacun de nos soleils, qui rayonnent à leur tour,
Pour réchauffer ton cœur, te donner leur amour,
Comme des épis de blé, ondulant tous en chœur.

Lors de ce grand voyage, sur notre Terre Gaïa,
Une enfant, en toi-même, toujours tu resteras,
T’émerveillant devant, tes cartes créatives,
Dévalant avec joie, les pentes récréatives.

Tout comme tes créations, à qui l’on peut prêter,
Des interprétations, personnelles, imagées,
Ton côté mystérieux, qu’on ne peut définir,
Nous interroge parfois, nous interpelle aussi.

Décidée, femme d’action, tranchée, déterminée,
Tu sais ce que tu veux et tu peux tant donner,
Pour des causes qu’en ton cœur tu chéris en secret,
Ton intuition te guide, pour les réaliser.

Et ton chemin chemine, tes restes de racines,
Se dénouent chaque jour, pour enfin libérer,
L’âme tenue prisonnière, dans son corps de matière,
Qui se tourne vers L’Esprit, vers son corps de Lumière.

Ta beauté intérieure, délivre paix et douceur,
Que tu as installées, en ton espace sacré,
En ton espace divin, là où avec bonheur,
Tu t’unis à la Source de Tout ce qui Est.

Je t’aime,

Brigitte

dimanche 3 mai 2015

Les nuages sont pareils à tes pensées mouvantes,

J’observe curieusement, les nuages défiler,
Chacun si différent, dans sa forme éphémère,
Les gris et les plus noirs, de tant de larmes chargés,
Et les blancs s’étirant en chapelet de prières.

Les nuages sont pareils, à tes pensées mouvantes,
Que seul le grand soleil, peut soudain disperser,
Ton soleil intérieur pareillement, sait briller,
Chasser tes idées sombres, pouvant être envoûtantes.

Tes rêves chevaleresques, comme les nuages roses,
Galopent dans ta tête, pour rejoindre de grandes causes,
Dans lesquelles tu t’impliques, pour les concrétiser,
Ta générosité, nous porte à t’admirer.

Ton amour pour Gaïa, pour notre Terre-mère,
T’amène à mettre sur pieds, des projets solidaires,
Afin que l’être humain en vienne à respecter,
Ce joyau sur lequel, nous sommes venus jouer.

Ton dévouement te porte vers les autres toi-mêmes,
Ces hommes ou bien ces femmes en quête de santé,
De santé sous toute forme, qu’elle soit matérielle,
Qu’elle soit celle du corps, autant que spirituelle.

Si le panier au bras, tu parcours les sous-bois,
C’est pour y dénicher, des plantes médicinales,
Réveillant au passage, certaines de tes mémoires,
De guérisseuse ou bien, de sorcière en cavale.

L’éducation aussi, de ces enfants nouveaux,
Te fait organiser des débats sur l’école,
Tu soutiens ceux qui aident, à ce que leur parole,
Soit enfin entendue, créant le renouveau.

Tu n’as de cesse qu’à, rechercher le mieux être,
Qu’à chercher ce pour quoi, ton âme a voulu naître,
Dans l’accomplissement, de tout ce que tu es,
Dans toute la grandeur, de ton être incarné.

Fidèle à tes valeurs, tu sais les partager,
Lorsque le feu t’anime, rien ne peut t’arrêter.
C’est un profond respect, que tu fais émerger,
Dans nos cœurs qui ne peuvent, rien faire d’autre que t’aimer.

Brigitte

jeudi 2 avril 2015

Alléluia !!! Christ est ressuscité en moi!


Alléluia, je L’ai trouvé, enfin trouvé,
Celui que je cherchais, sans y être arrivée,
Après de grands détours, tout au long de ma route,
Un jour je l’ai reçu sur mon chemin de doute.

J’ai tant et tant cherché, le Christ à l’extérieur,
Et Il m’a répondu, en bon et beau farceur:
« Je suis au fond de toi, dans ton Être Intérieur,
Ouvre donc un peu les yeux, ne regarde pas ailleurs. »

Je lui ai demandé, alors de Se montrer,
Il est parti à rire, à rire à en pleurer,
Et Il m’a dit tout bas, ces mots de vérité :
« Vas chercher un miroir, tu verras Ma beauté.»

Vers le miroir, je me suis donc précipitée,
Ce que j’ai vu alors, dans un halo doré,
M’a fortement surprise, hautement impressionnée,
C’était un beau visage, lumineux de bonté.

Se pourrait-il que Christ, m’aurait ainsi donné,
Son Amour, Sa Lumière, Sa Grâce, Sa beauté,
Que toutes mes cellules, se soient mises à vibrer,
Reconnaissant leur Maître, en Lui L’ayant trouvé?

L’ayant enfin trouvé, et prête à L’écouter,
A écouter Sa voix, en toute simplicité,
Qui façonne les mots, pour en faire des amis,
Ces mots pour éveiller, mes cellules endormies.

« Ne cherche plus, Je suis en toute création,
Dans l’autre que tu croises, en plein cœur de l’action,
Qu’il soit prince ou mendiant, en son cœur il possède,
L’Étincelle Divine, comme unique remède. »

« L’Étincelle Divine, lorsqu’Elle est reconnue,
Apporte la Lumière, pour que l’ombre soit vue,
Pour que l’ombre s’efface, et laisse alors la place,
À celui qui n’a plus, à porter tous ces masques. »

« Toujours, toujours Je suis, dans ce sourire radieux,
Qu’on te donne, que tu donnes, un instant merveilleux,
Dans le chant de l’oiseau, dans ton écoute aimante,
Dans la rose épanouie, à l’odeur enivrante. »

« Écoute bien Ma Voix, c’est Ta petite voix,
Qui te guide, qui te mène, et te met sur la voie,
Te mène à la fontaine, pour ton cœur purifier,
La fontaine de cristal, pour te réunifier. »

« Pour te régénérer, La fontaine de jouvence,
Est là au fond de toi, en plein cœur du silence,
Là,  pour entendre Ma Voix, Ma Voix qui te ramène,
À toi et à toi-même, au cœur de toi, te mène. »

« Cet amour que tu portes à toute la Création,
C’est Mon Amour en toi, cette précieuse vibration,
Qui te porte, te soulève, comme une vague de fond,
Chamboulant tout ton être, transcendant ta vision. »

Alléluia!!! Christ est ressuscité en moi!

                                                                      Brigitte

mercredi 11 mars 2015

L’alchimie intérieure,

Ce matin mon regard se pose sur la nature,
La neige a déroulé son long tapis tout blanc,
Tout est calme et respire le repos et la paix,
Une fée a sans doute, endormi  ce palais.

Pourtant au plus profond, de la terre gelée,
La force de la vie, se met en mouvement,
Pendant qu’à l’extérieur, la vie semble figée,
Se prépare en secret, la naissance du printemps.

Une alchimie se fait, dans ce laboratoire secret,
Tout comme la chenille dans son cocon discret,
Dans la chaleur féconde de ses entrailles de mère,
Là, toute chose se transforme, s’apprête à se refaire.

Observons la nature, elle a tant à nous dire,
Sage, se laissant aller, au rythme des saisons,
En ne mettant aucune, forme de résistance,
Elle nous offre ce qu’elle est, toute sa bienveillance,.

La lumière nous renvoie son filtre de couleurs
Tout comme l’arc en ciel, nous offre sa grandeur,
Les teintes et puis les sons portent la guérison,
Dans tout ce qu’ils émettent, dans toutes leurs vibrations.

Tout cela tu le sais, tout cela tu le sens,
C’est pourquoi tu en fais, pour ton art, des alliés,
Tout l’intérieur de toi, est en effervescence,
Attendant son printemps pour fleurir en beauté.

Ces cristaux que tu aimes, tant tenir dans tes mains,
Et que tu utilises pour le bien du prochain,
Tu les laisses te guider, tu sais qu’ils diront
Comment les employer, laissant faire l’intuition.

Merci à toi, belle dame, toi qui donnes tant et tant,
Tout comme ferait une mère, pour ses tendres enfants,
De ton temps, si précieux, pour que nos existences,
Soient plus douces, plus sereines, comme l'était notre enfance.

Je t’aime,

                                                Brigitte

vendredi 13 février 2015

Amour…Amour, toujours…

L’Amour c’est le chant de l’oiseau, qui s’égosille dans le matin,
Et c’est le murmure du ruisseau, que tu entends dans le lointain,
C’est la vie qui palpite en toi, et toute cette joie que tu ressens,
C’est le mouvement de la vague, qui déferle en toi, en tout temps.

L’Amour, c’est un bouquet de roses, au parfum si suave et léger,
Dont le doux velours de leurs robes, de plaisir te fait frissonner,
C’est quand leur parfum si subtil, te remplit, t’étourdit, se mêle,
À chaque cellule de ton corps, à chaque fibre de ton être.

L’Amour, c’est comme un champ de blé, immense, doré et ondulant,
Ce sont tes deux bras qui enlacent, et qui accueillent tout en berçant,
Ce sont ces étoiles dans tes yeux, qui donnent ce regard amoureux,
Et c’est ton sourire, c’est ta bouche, qui sait dire des mots merveilleux.

L’Amour, c’est beau, c’est doux, c’est tendre, c’est chaud comme le soleil d’été,
C’est doux comme la soie de ta peau, dont ton corps s’est enveloppé,
Et c’est beau comme un paysage, que tu découvres lors de voyages,
C’est tendre tout comme l’enfant, qui vient de naître, en nouveau sage.

L’Amour ne peut pas se comprendre, l’Amour peut simplement se vivre,
Et l’Amour ne peut pas se prendre, l’Amour n’est qu’une route à suivre,
Il se trouve au fond de ton cœur, prêt à s’amplifier, se donner,
L’Amour est Lumière et Conscience, et Transparence et Vérité.

L’Amour c’est l’expansion du cœur, l’énergie du feu allumé,
C’est l’expansion de la Conscience, la Conscience de l’Unité,
L’Amour c’est toi et puis c’est l’autre, que tu acceptes dans son entier,
Que tu acceptes dans son âme, et dans toute son unicité.

C’est comme une communion d’âmes, une vibration qui remplit,
Une Union avec le Divin, dont toute chose fait partie,
Il est partout sur ton chemin, si tes yeux tu sais les ouvrir,
Et si tu sais tendre la main, ton cœur saura Le ressentir.

Pourquoi vouloir chercher l’Amour, puisqu’il est là, au fond de toi,
Il  a toujours trouvé sa place, en t’ouvrant, tu lui as fait foi,
Amuse-toi à le perpétuer, à travers l’échange et le don,
Puisque c’est tout ce que tu crées, à partir de Sa vibration.

L’Amour est au-delà du temps, l’Amour est par delà l’espace,
Et l’Amour naît de la fusion, d’un regard, d’un son qui embrasse,
Dans la fusion de celui qui, regarde et qui est regardé,
L’Amour c’est un éclat de rire, dont la magie sait opérer.

L’Amour est enfant de partage, et puis l’Amour est liberté,
 Tu le reçois en héritage, tu ne peux pas l’emprisonner,
Et l’Amour n’a pas de mesure, il ne peut être quantifié,
L’Amour est entier, Il est pur, Il ne peut être entaché,

L’Amour c’est un élan des cœurs, c’est nous, quand nous sommes réunis,
Et c’est grand comme un Océan, d’Univers, de Mondes et de Vies,
L’Amour, c’est Nous, dans Notre Essence, Nous, l’Amour au-delà des sens,
Un abandon total à ce qui est, ce moment pur qui nous encense.

L’Amour c’est le regard, que porte le Créateur sur Sa Création.

Je vous aime

                                                                       Brigitte