samedi 31 décembre 2011

POÉSIE POUR L’AN NEUF,

Voilà qu’à pas de velours, la nouvelle année,
Chaussée de ses trois cents soixante et six souliers,
Arrive et vient  frapper, à ta porte d’entrée,
Pour t’offrir les cadeaux, qu’elle t’a réservés.

Les souliers de Janvier sont de blanc habillés,
Et leurs présents foisonnent de ce que tu as semé,
De ce que tu as planté à la saison d’été,
Voici venu le temps pour toi de récolter.

Et ceux de février, t’offrent des pages blanches,
Ces pages que tu as, écrites en lettres franches,
À la lumière des jours, elles se révèleront,
Sources d’inspiration, de manifestations.

De mars les souliers, subtilement se remplissent,
De ces frémissements, de prémisses que tu sens,
T’annonçant l’arrivée prochaine du printemps,
Et de son explosion, préparée de long temps.

Avril voit ses souliers, se remplir de sève,
Cette sève qui nourrit et fait vivre tes rêves,
De cette sève qui circule et qui donne la vie,
Et prépare en tes veines, ce sang neuf qui jaillit.

Et Mai les voit alors, regorger de bourgeons,
Qui se préparent pour, faire leurs floraisons,
Afin que la  beauté de ce mois se dévoile,
Celle que tu as semée, qui te vient des étoiles.

Et les souliers de Juin, fleurissent de bonheur,
Celui du renouveau, tu lui ouvres ton cœur,
Les jeunes poussent lèvent, celles que tu as chéries,
La magie du printemps, est celle de ta vie.

Juillet a des souliers, luisant de mille feux,
De ses souliers vernis, valsant aux jours heureux,
Recevant par milliers ses roses, en brassées,
Aux parfums du chemin que tu as sillonné.

Et le mois d’Août les voit, dans ses douceurs d’été,
De ta magnificence étalant ta beauté,
Et le soleil plus chaud, rayonne de bonheur,
Et tu chantes ta joie de sentir sa chaleur.

Septembre  les rempliras encore plus d’allégresse,
Ces cornes d’abondance, qui te mettent en liesse,
Et qui font de ce mois, un mois plein de promesses,
Ouvrant ainsi la voie aux fruits de la tendresse.

De fruits vermeils regorgent, les souliers d’Octobre,
Ces fruits mûris en toi, tous au longs de ces mois,
Ces mois et ces années, passés à te connaître,
Et puis te reconnaître, pour que tu puisses renaître.

En Novembre tes souliers, se mettent à chanter,
Sur tes introspections, à chanter et danser,
Et ce sont de multiples voix qui les remplissent,
Et qui fêtent ta gloire, et qui te définissent.

En Décembre, tu bénis cette année écoulée,
De gratitude sont pleins, à craquer tes souliers,
Car de nombreux présents, elle a su t’apporter,
Ces multiples moments, de générosité.

Cette année n’est vraiment, que ce que tu en fais,
Sensible aux résonances que tu sais faire vibrer,
Semblables aux sons d’amour de ton cœur, ta Présence,
Lumineuse et vibrante, de ton Être l’essence.


                                                 Brigitte

samedi 24 décembre 2011

Il est né le Divin Enfant,

Il est né le Divin Enfant,
Chantons tous, Son avènement!
Il est né, Celui qui en toi,
Attendait pour devenir Roi.

Il  est né  dans toute Sa splendeur,
Il est né dans toute Sa grandeur,
Il est né, l’Enfant adoré,
Pour t’apporter la joie d’aimer.

Il est né pour t’apprendre à jouer,
À voir la vie du bon côté,
Et pour t’apprendre à t’étonner,
T’apporter son innocence innée.

L’enfant Soleil, l’enfant Étoile,
Qui se tenait derrière le voile,
Venu te présenter sa toile,
Son Unicité se dévoile.

Et s’Il vient tout juste de naître,
Comment ne pas Le reconnaître?
À Lui, tu te relies souvent,
Lui, l’Amour grand comme l’océan.

Il te fait renaître à toi-même,
À ton essence, pour que tu aimes,
Que tu te tournes vers l’essentiel,
Ton essence venue du ciel.

Il fait de ta vie, ton projet sens,
Un projet dont tu connais l’essence,
Tu reconnais ton droit de naissance,
Tu bénis votre re-co-naissance.

Il était là, en gestation,
Bien lové dans Son blanc cocon,
Faisant que tu Le reconnaisses,
Pour qu’un jour, enfin tu renaisses.

Et voilà, qu’en ces temps de fêtes,
La connexion s’est enfin faite,
En ce jour de nativité,
Fêtons l’Enfant-Roi qui est né.

Et je salue en toi la Mère,
Toi, qui l’as porté en ton sein,
Et je salue en toi le Père,
Qui a crée cet enfant Un.

De l’Esprit du Père, conçu,
De la trame de la Mère, issu,
En toi, il y a fait Sa place,
Pour que la Trinité se fasse.

Votre  Divine Reconnexion,
Se réalise dans la fusion,
Votre Reconnexion Cosmique,
Explose dans son jardin ludique.

Noël, c’est la Paix dans ton cœur,
La Joie de vivre ce grand bonheur,
Noël, c’est l’Amour dans ta vie,
L’Union qu’il crée, par sa magie.

Il est né, le Divin Enfant,
En chacun de nous, en ce jour,
Il est né le Divin Enfant,
Chantons tous son avènement!

                                Brigitte

lundi 12 décembre 2011

Une perle rare,

J’ai une amie précieuse que je veux honorer,
Une perle lumineuse, et dont j’aime à parler,
Elle est chère à mon cœur, où je l’y ai placée,
Elle fait partie des fleurs, de mon jardin secret.

Dans son cœur il y a, un soleil qui réchauffe,
Comme un brasier ardent, qui jamais ne s’éteint,
Les petits comme les grands, dès qu’elle les étreint,
Ressentent cet amour, qui leur fait tant de bien.

Il y a dans ses mains, deux cristaux qui rayonnent,
Et ce sont deux lasers, où l’énergie foisonne,
L’énergie de l’Amour, celle de la Lumière,
Apportant guérison, à la planète entière.

Dessous ses pieds, deux autres, la relie à la Terre,
À cette Mère qui lui donne, tout son corps pour s’ancrer,
Celle qui la nourrit, de sa force légendaire,
Celle qui la chérit, elle son enfant aimé.

Au-dessus de sa tête, un autre, beaucoup plus grand,
Disperse la Lumière, comme une couronne, radiant,
La Source le remplit, de cette puissance divine,
Dont elle boit le nectar, depuis son origine.

En souveraine, elle règne, sur son monde, enseignant,
Distribuant ses bienfaits, à tout vent, tout venant,
La Grâce l’a touchée, dans son âme d’enfant,
Est empreint de fraicheur, tout le service qu’elle rend.

J’aime à la regarder, dans son aura-lumière,
Qui vibre et qui irise les champs environnants,
Près d’elle, je me sens bien, elle m’est si familière,
Car certainement nos âmes, se sont connues avant.

Et ce cristal qu’elle est, ce joyau éclatant,
Avec toutes ses facettes, nos miroirs en dedans,
Prenons-en très grand soin, il est si important,
Célébrons sa présence, comme un cadeau vivant.

Et c’est le cœur vibrant, d’une profonde gratitude,
Pour ta présence aimée, dans ma vie de fortune,
Je te donne par ces mots, ce que j’ai de plus beau,
Un amour qui se sert, sur d’argent un plateau.

Je t’aime,

                                                            Brigitte

mercredi 30 novembre 2011

Ainsi soit-il,

Ô combien elle pouvait, aller loin l’aventure,
Elle semblait prometteuse, d’un complaisant futur,
Dont les merveilleux fruits, seraient bientôt cueillis,
Et toi, tu en rêvais, le jour comme la nuit.

La mer avait en elle, tout pour vous enrichir,
De ses nombreux atouts, nutriments des plus purs,
Et la mer vous a pris, comme amis pour se dire,
Vous avez pris la mer, partenaire des plus sûres.

La vie n’a pas voulu, que la vague se fasse douce,
Elle a choisi pour toi, un chemin différent,
Que celui de voguer sur la mer qui te pousse,
La houle de ses flots, tu l’affrontes en ramant.

À travers chaque goutte, que t’offre l’océan,
Qui te porte plus près, de ton cristal vibrant,
L’Océan de la vie, te remet au défit,
D’aimer et d’accueillir, l’expérience de ta vie.

Même si elle t’a conduit, derrière des murs arides,
Comme tout Être en chemin, tu as vu le bon grain,
En laissant derrière toi, l’ivraie ô combien vide,
En regardant tout droit, tu ne vacillais point.

Ces jours passés à l’ombre, pour que la lumière soit,
T’ont fait grandir encore, te retrouver chez toi,
Et éclairer ces lieux, comme un phare dans la nuit,
Où la loi du plus fort, se détourne et s’enfuit.

Aimer sans condition, quand l’expérience est rude,
Se relever encore, trouver la gratitude,
Au plus profond du Soi, l’étincelle de Lumière,
Grandit et puis rayonne, et le voile disparaît.

Merci à toi, Grande Âme, d’être aller explorer,
L’ombre derrière les barreaux, pour la démystifier,
Et tu as fait pour nous, ton travail d’éclaireur,
Pendant que se libèrent, nos prisons intérieures.

Et puis, bien souvent là, où on ne s’y attend point,
Il y a une rose qui exhale son parfum,
Une rose qui s’offre, un cadeau à cueillir,
Un présent bien précieux, pour notre devenir.

Je t’aime,
                       Brigitte

vendredi 18 novembre 2011

J’ai un moment unique à partager,

Alors que le soleil amorce sa montée,
Tout là haut dans le ciel, là, dans l’immensité,
Je pense alors à toi, en ce jour de clarté,
Ce jour qui t’a vu naître, il y a plusieurs années.

Je pense à toi, qui a cette sensibilité,
Celle qu’on les artistes, pour aimer la beauté,
Et qui la distribuent, pour faire vibrer une onde,
Une grande onde d’amour, pour en remplir le monde.

Pour l’amour de la Terre, le respect, tu lui portes,
Et pour les êtres humains, de même tu te comportes,
Apportant la douceur, et les soins naturels,
À ta petite famille, ton âme-sœur, ta jumelle.

De ces deux  beaux bijoux, tu as su te parer,
D’une femme si douce, d’une femme si tendre,
C’est elle qui t’a donné, un beau jour de décembre,
Le cadeau merveilleux, d’une fille adorée.

Au travers les tourmentes, regarde un peu plus loin,
Vois le soleil qui brille, au détour du chemin,
Alors allonge encore, un peu plus grand ton pas,
Car c’est lui qui te porte, vois, on t’ouvre les bras.

Le Créateur est là, et toujours Il te garde,
Au plus près de Son Cœur, Son Cœur impénétrable,
Et Sa Source d’Amour, toute inconditionnelle,
Te remplit chaque instant, de la Vie éternelle.

En ce moment unique, qu’avec toi je partage,
Par delà l’Océan, à travers cette page,
Que mon Être pour toi, rédige le cœur chantant,
Et qu’il t’offre en ce jour d’automne éblouissant.

Bien au-delà des mots, il y a une vibration,
Qui résonne, s’amplifie, bien au-delà des monts,
Que seul ton cœur aimant, reconnaitra toujours,
Ces mots qui sont pour moi, des messagers d’amour.

Je t’aime,

                               Brigitte

mardi 25 octobre 2011

Petite abeille, Fleur de soleil,

Sur la fleur de soleil, une abeille s’est posée,
Et là, tout doucement, le nectar, elle aspire,
Elle est là et elle puise, ce liquide sucré,
Encore et puis encore, puis s’arrête et respire.

Et tout comme l’abeille, porteuse de jouvence,
Toi aussi, pour ta ruche, tu t’en vas butiner,
Et tu reviens toujours, plus riche d’expériences,
Que la vie chaque jour, te propose de tester.

Chaque fleur a sa saveur, et chaque fleur est unique,
Et l’abeille le sait, et l’abeille l’apprécie,
Et tes moments de vie sont eux aussi uniques,
Alors petite abeille, savoure et remercie.

Car la vie est parfaite, tissée à ta mesure,
Et remplie des défis, que tu sais relever,
Et qui seront pour toi, de for jolies parures,
Pour embellir ton être, ton intérieure beauté. 

Et aujourd’hui pour toi, pour toi je veux chanter,
Avec des mots d’amour, la vie et la gaieté,
Je veux fêter pour toi, la fraîcheur, la jeunesse,
Petite abeille à miel, fêter dans l’allégresse.

Et toi, poussière d’étoile, un jour du grand ciel bleu,
Ou de la voie lactée, un jour, tu es tombée,
Ici-bas, sur la Terre, pour faire plus d’un heureux,
Dévoiler le mystère, dans ta ruche enchantée.

Le mystère de ta vie, que chaque jour tu dévoiles,
Petite abeille à miel, fleur de soleil d’été,
Toi qui brilles là-bas, toi qui lèves le voile,
Sur Qui Tu Es vraiment, découvre La Vérité!

Je t’aime, petite abeille

                                 Brigitte

mercredi 5 octobre 2011

Petite Étoile du matin,

Petite étoile qui brille, depuis la nuit des temps,
Tu t’es penchée si fort, depuis le firmament,
Sur notre belle Terre, Elle qui t’attirait tant,
Vers Elle tu as filé, vers tes nouveaux parents.

Oui, tu es descendue, fébrile et impatiente,
Et ils t’ont accueillie, après une longue attente,
Comme un cadeau du ciel, au grand jour dévoilé,
Toi, leur enfant céleste, leur bel ange adoré.

Et voilà qu’aujourd’hui,  ils veulent te présenter,
À leurs proches, aux amis et puis au monde entier,
Ils sont si fiers de toi, et désirent ardemment,
Que tu sois reconnue, Grande parmi les Grands.

Grande de tout ton Être, alentours irradiant,
Toute la pureté, la fraicheur de l’enfant,
Ta Lumière illumine, la plus noire des nuits,
Et ton sourire radieux, efface les soucis.

À toi qui as choisi, cette grande fratrie,
Celle qu’est l’Humanité, à son sort tu te lies,
Merci à toi belle âme, d’apporter la candeur,
De semer les plus beaux, des sourires enchanteurs.

Nous sommes réunis, pour fêter ton baptême,
Et nous nous réjouissons, de t’avoir ici –même,
Toi, fille de l’Univers, et pour l’éternité,
Tendre poussière d’étoile, de l’amour, tu es née.

Et tes sœurs dans les cieux, au cœur de la nuit dansent,
Sous la lune offrant, sa pâle opalescence,
Et le soleil pour nous, brille de mille feux,
Et il sourit de voir, ses enfants si heureux.

Merci à toi bel ange, à toi belle âme, merci,
De nous donner des ailes, de nous avoir choisis,
Je t’aime de tout mon cœur, et pour toi je nourris,
Sur cette planète Terre, la plus belle des vies.

De mon cœur à ton cœur, bel ange d’amour,
Je t’aime,

                                                                                             Brigitte

lundi 26 septembre 2011

Dans le cœur d’une fleur,

J’ai un jardin privé, où poussent à foison,
Les plus belles des fleurs, de toute la création.
C’est un jardin secret, un jardin enchanté,
Je t’y ai fait une place, laisse-moi te conter…

Au milieu du jardin, une fleur a grandi,
Belle parmi les belles, en grâce s’est épanouie,
Comme un sourire radieux, au milieu de ses sœurs,
Illuminant ce lieu, cet espace enchanteur.

Brillant comme un diamant, aux multiples facettes,
Je l’ai un jour semée, parmi les pâquerettes,
Le soleil chaque jour, dans sa robe vient jouer,
Et irise sa blancheur, sa translucidité.

Elle embaume le jardin, de son parfum discret,
Aux notes un peu boisées, légèrement satinées,
Fleur des contrées sauvages, qu’on a apprivoisée,
Devenue souveraine, tel un lys en été.

Dans le cœur de la rose, l’amour a fait son nid,
Dans le cœur de la rose, tout vibre à l’infini,
Lorsqu’elle est en bouton, elle se garde en dedans,
Lorsqu’elle est épanouie, elle donne à tout venant.

Car vois-tu Belle Fleur, oui, c’est toi cette rose,
Qui dans mon cœur d’amour, un beau jour s’est éclose,
Ta beauté et ton rire, me le rendent plus gai,
Et le chant de ton cœur, m’est si doux à aimer.

Tout l’éclat de la rose, épanouie que tu es,
M’éclabousse de joie, illumine mes sentiers,
Et sais-tu Belle Rose, qu’en allant t’arroser,
De mes pensées d’amour, plus belle tu peux pousser.

Je t’aime, Belle Rose

                                                                                                    Brigitte

mercredi 7 septembre 2011

Petite fée des eaux,

Petite fée des eaux, toi, la sœur, toi l’amie,
Toi qui es toujours là, pour veiller sur la vie,
De ton grand frère ainé, et de ton frère cadet,
Que feraient-ils sans toi, toi leur sœur bien aimée?

 Quand de toi, le besoin, pour eux se fait sentir,
 Ils se tournent  vers toi, toi l’oreille attentive,
Et ton grand cœur de sœur, que tu ouvres à toute heure,
Sait pour eux apporter, réconfort et bonheur.

Tu as su imposer tes choix, tes préférences,
Pour l’amour, pour ta vie, en de beaux pas de danse,
Pour pouvoir t’épanouir, tu as su te choisir,
Te respecter, pour toi, reste ton premier désir.

La sensibilité, tu l’as à fleur de peau,
Tu t’émerveilles toujours, devant ce qui est beau,
Grande dame  avant tout, Belle Reine de douceur,
Qui sait montrer ses larmes et consoler les cœurs.

De jeune adolescente, à la femme mature,
Je t’ai vu te glisser, en douceur sans murmure,
Et toujours tu as su, projeter dans le futur,
Tes désirs innocents et tes rêves les plus purs.

Petite fée des eaux, tu  virevoltes, et survoles,
Et puis de très, très haut, tu as pris ton envol,
Pour pouvoir un beau jour, t’en aller convoler,
Avec ton Peter Pan, ton amoureux ailé.

À l’écoute des âmes, des âmes qui ont des bleus,
Ces miroirs de ton âme, ton Être généreux,
Femme, tu es devenue, sensible à ceux qui est,
Tu ressens, tu pressens, bien au-delà des faits.

Mûrie bien avant l’âge, de par tes expériences,
Je t’ai toujours vue belle, dans ton âme, ta conscience,
Je t’ai toujours vue Grande, même à l’adolescence,
Grande Dame d’amour, je veux que l’on t’encense.

S’informer et veiller, sur tous ceux que tu aimes,
Organisant ta vie, de l’ardeur qui te mène,
L’énergie de l’amour, qu’en même temps, tu sèmes,
Fait de toi, une déesse, au pouvoir d’une reine.

J’ai entendu au loin, ton grand rire d’été,
Je t’ai vu fredonner, ta chanson préférée,
Limpide et cristalline, comme le son du roseau,
Est ta voix, est ton rire, petite fée des eaux.

Merci, petite fée, d’être là dans ma vie,
De m’offrir ta beauté, dans ta vie qui sourit,
Je te prends dans mes bras, dans une immense joie,
Je te serre sur mon cœur, là où l’amour est roi.

Je t’aime petite fée des eaux,

                                                                                                                                Brigitte

mercredi 24 août 2011

Le renard et le petit prince,

Avez-vous vu passer, le renard argenté,
Brillant de mille feux, dans le matin joyeux?
Avez-vous entendu, son pas sûr et léger,
Effleurer la prairie, d’un air mystérieux?

Il cherche le petit prince, pour parler avec lui,
Ce petit prince aimé, qu’il porte au fond de lui,
Les cheveux  dans le vent, respirant le bonheur,
Déversant sur sa fleur, tout l’amour de son cœur.

Un rayon de soleil, a caressé la rose,
Que de sa pureté, l’enfant a arrosée.
En regardant le prince devant sa fleur éclose,
Le renard attendri, une larme a versée.

Et ils ont échangé, sur les choses de la vie,
Le renard doucement, lui a alors permis,
Avec les yeux du cœur, de regarder le monde,
Découvrir l’Essentiel, qui vibre comme une onde.

L’enfant s’est approché, de sa fleur préférée,
Tout en la remerciant, sa tige, il a coupée,
Et à son bel ami, il l’a alors offerte,
Avec la gratitude qu’il ne pouvait plus taire.

Aujourd’hui c’est à toi, que la rose je dédis,
Et tout comme l’enfant, d’amour je l’ai couverte,
Et je l’offre au renard, qui sait tant de la Vie,
Et au maître en toi, riche de découvertes.

Merci à toi beau Prince, beau Renard argenté,
Car ta beauté, vois-tu, je peux la reconnaître,
Elle rayonne en dedans, rayonne de tous côtés.
Avec les yeux du cœur, je ressens tout ton Être.


Je t’aime
                                   Brigitte



mercredi 27 juillet 2011

Quand le blanc se fait jour à la tombée du soir…

Quand le blanc se fait jour, à la tombée du soir,
Il est pour nous le temps, d’illuminer le noir,
C’est lui qui donne le ton, pour un souper dansant,
C’est lui qui ce soir règne, comme maître du temps.

Vous qui venez valser, ce soir sous les étoiles,
Vous y venez vêtus, comme acteurs d’une toile,
De vos fines dentelles, de vos pantalons blancs,
Habillés de lumière, pour fêter en riant.

Et dans vos grands paniers, que vous avez ornés,
Vous avez déposé, sur vos linges bien blancs,
Votre blanche vaisselle, et vos plats préférés,
Pour un souper d’amis, à partager gaiement.

Autour des tables drapées, de nappes immaculées,
Décorées de fleurs blanches, de bougies, éclairées,
Vous y avez pris place, vous vous êtes installés,
Pour une soirée radieuse, conviviale de l’été.

Écoutez la blancheur,  au diapason des cœurs,
Une note s’est déposée, sur chacune des fleurs,
Une note de gaieté, une blanche à savourer,
Une ronde qui s’élève, en son riche et enjoué.

Dansent, dansent les fleurs, entendez dans la nuit,
Leur grand éclat de rire, sous la voute étoilée,
Et la lune de concert, a déversé en pluie,
Sur le jardin entier, toute sa blanche clarté.

Avez- vous habillé votre âme de dentelle,
Afin qu’elle puisse briller en noble demoiselle,
Sur le fil de sa trame, là où tout se jouera,
Comme une funambule équilibrant son pas.

Pour qu’elle soit pure et belle, avez-vous effacé,
Ce qui ne vibrait plus, la joie de l’Unité.
Lui  avez-vous offert, pour toute l’éternité,
L’amour et l’harmonie en toute liberté.

Vous êtes vous parés, de votre blanc intérieur?
Avez-vous apporté le plus beau de vous-même?
Avez-vous délaissé, ce qui n’est pas rieur?
Avez-vous décidé, de donner le meilleur?

Devant la page blanche tout est à inventer,
À écrire, à broder, avec vos doigts de fées
Votre bel intérieur, à vous de vous le jouer,
Fait de reconnaissance et puis d’humilité.

Cette page que l’on rempli, instant après instant,
Et que la blanche colombe, chaque jour vient tourner,
À vous de vous l’écrire, dans cet espace du temps,
À vous de vous l’offrir, comme dessert succulent.


                                                                                                                                         Brigitte

lundi 18 juillet 2011

À toi, Belle « Pensée » d’Amour,

Le printemps a coiffé, sa chevelure de vert,
Et voilà que l’été, arrivant par derrière,
De mille et une fleurs, parsème le gazon,
Célébrant l’arrivée, joyeuse de sa saison.

Et c’est cette même saison, qui un jour t’a vue naître,
Et qui t’a accueillie, pour la vie, la connaître,
Là-bas tu as grandi, ici tu as mûri,
Et tu es devenue, cette femme enrichie.

Et tu t’es épanouie, comme le fait la rose,
Attendant chaque jour, que le soleil dépose,
Sur sa corolle offerte, pour qu’il puisse s’y rendre,
Un baiser de velours, si chaud et puis si tendre.

Belle Dame de cœur, tu as servi beaucoup,
Ta famille d’ici, a passé avant tout,
Et puis un jour tu t’es, réveillée au grand jour,
À toi, tu as pensé, pour un nouvel amour.

Te voilà devenue, une toute autre femme,
Le désir de servir, alimente ta flamme,
Libre de te créer et libre d’entreprendre,
Dans la joie de donner, et puis te réapprendre.

Et aujourd’hui vers toi, s’envolent mes pensées,
Toutes mes pensées d’amour et pour t’encourager,
Pour te féliciter de toujours avancer,
Et d’aller de l’avant et de savoir oser.

Belle Dame de cœur, toi aussi tu es Grande,
Et dans ton cœur de mère et quand ton cœur commande,
Dans le  choix de ton âme, venue pour évoluer,
Dans ton Être qui brille, dans toute Sa Beauté.

Et grand merci à toi,  Belle « Pensée » d’Amour,
D’être là dans nos vies, d’être là parmi nous,
Je te serre sur mon cœur, un instant d’Unité,
Avec tant de bonheur et pour l’Éternité.

Je T’aime,

Brigitte

lundi 11 juillet 2011

Si j’étais…

Si j’étais un oiseau, je chanterais pour toi,
Le plus beau de mes chants, de ma plus douce voix,
Et je te l’offrirais, dans le matin naissant,
À ce moment où l’aube, arrive à pas glissants.

Si j’étais une fleur, j’exhalerais  pour toi,
Mon parfum le plus suave, pour qu’il te mette en joie,
Le satin de ma robe, serait à ta couleur,
Chatoyante à souhait, juste pour réjouir ton cœur.

Si j’étais le soleil, je brillerais pour toi,
De tous mes feux dorés, en ce merveilleux mois,
Et je déposerais, sur ta joue un baiser,
Et je t’envelopperais, de ma douceur d’été.

Si j’étais libellule, je danserais pour toi,
La valse à quatre temps, mon boléro d’un soir,
Je donnerais pour toi, un spectacle aérien
Un ballet tout en grâce, jusqu’au petit matin.

Tout comme toi, je suis, enfant de l’Univers,
Et Il m’a fait ainsi, que je peux de concert,
Chanter comme l’oiseau, m’épanouir comme une fleur,
Briller comme le soleil, et danser à toute heure.

Il est un beau jardin, aux multiples essences,
Un coin de Paradis, que l’amour ensemence,
Où chante un bel oiseau, où une fleur s’épanouit,
Où une demoiselle danse, et où le soleil  luit.

C’est ton jardin secret, ton espace intérieur,
Un bel endroit sacré, tout vibrant de bonheur.
C’est là qu’à tout moment, à Le rejoindre tu aimes,
Car de son Grand Amour, ton jardin, Il parsème.

C’est le cœur plein d’amour et de remerciements,
Pour Celui qui m’a fait, pour tous ces beaux présents,
Et puis aussi pour toi, Sa créature divine,
Vois, je t’ouvre mes bras afin qu’ils te câlinent. 

Avec amour xxxxxx

Brigitte

jeudi 30 juin 2011

Et l’amour de la Vie, te fait aller plus loin

Et l’amour de la Vie, te fait aller plus loin,
Te guidant pas à pas, tout au long du chemin,
Et pour que la Vie soit, et pour que la Vie danse,
Tiens- la bien par la main, donne-lui tout son sens.

Sur les vagues de la Vie, tu surfes en t’amusant,
Cherchant ton équilibre, sur cette mer en mouvements,
Et c’est Elle qui te prend, et c’est Elle qui t’étreint,
Et toujours Elle te fait, revenir en son sein.

Dans les bras d’une mère, dans l’essence de la femme,
Renaître de son ventre, entretenir la flamme,
Et de ses bras puissants, Elle te porte sur son cœur,
Elle te berce, t’enveloppe de sa chaude moiteur.

C’est Elle qui te domine, quand tu résistes aux flots,
C’est Elle qui t’achemine, te pliant à ses eaux.
Dériver sur ses vagues, apprivoiser cette mer,
Appréhender l’espace, comprendre son univers.

Telle  est pour toi la quête, renaître de la Vie,
Co-naître d’une femme, ensemencer son lit,
Retrouver avec joie, en toi le Grand Principe,
De la Féminité, et de ses Archétypes.

La Vie est une femme, que tu cherches à comprendre,
Qui jamais ne te laisse, en répits de l’apprendre,
Qui jamais ne se lasse, de toujours te donner,
Et ce, de bonne grâce, et pour l’éternité.

Elle est sœur, Elle est mère, à jamais ta compagne,
Tu es son beau voilier, au grand mât de cocagne,
Elle est l’amante ultime, Celle qui sait par bonheur,
Déchiffrer tes appels, lire au fond de ton cœur.

Elle est toi, tu es Elle, unit comme des amants,
Enlacés par le feu, de votre amour ardent,
Allongés sur le lit, de votre plénitude,
Que l’Univers entiers, borde de gratitude.

La vague déferlante, au loin s’est retirée,
Te laissant essoufflé, sur la plage désertée,
Dans l’odeur enivrante, du sable encore mouillé,
Et des embruns de l’eau, te caressant les pieds.

Tout comme le phœnix qui renaît de ses cendres,
Et relevant la tête, prêt à ré-entreprendre,
Noble de tout ton Être, délié de tout souci,
Pour de nouveaux projets, te voilà reparti.

Et, donnant toute valeur, à ton moment présent,
Recherchant dans la Vie, la beauté de l’instant,
Pour que tu la nourrisses, que tu en prennes soin,
Pour  l’amour de la Vie, tu vas toujours plus loin.

Avec tout l’amour que mon cœur peut t’offrir…

Brigitte

jeudi 9 juin 2011

Et la mer ondulante te chuchote à l’oreille…

Et la mer ondulante te chuchote à  l’oreille,
Les plaisirs de la vie aux saveurs sans pareilles,
Elle t’accueille en ses bras, t’enveloppe et murmure,
Elle te porte, elle te berce, elle te parle d’aventures.

Elle te parle du large et de l’immensité,
Elle te parle d’exploits au goût de liberté,
Elle te parle de joie, elle te parle chaque jour,
Car entre elle et toi, c’est une histoire d’amour.

Elle étend alentours, sa robe de velours,
De satin chatoyant, au bleu profond du jour,
Ce bleu comme l’azur de la voute de son ciel,
Aux touches d’or et d’argent, écumant ses dentelles.

Quand ses vagues se font hautes, altières et souveraines,
Tu laisses alors aller, c’est la mer qui te mène,
Devant tant de puissance, de force, et de beauté,
Devant elle, tu t’inclines, en toute humilité.

Et les embruns déversent, leurs gouttes d’eau par milliers,
Ton visage se laisse, doucement caresser,
Réhydratant ta peau, desséchée par le sel,
Burinée par le vent, brûlée par le soleil.

Et tes lèvres se tendent pour en goûter le miel,
Cadeau de l’océan, cadeau de l’Éternel,
À saveur de ta sueur, à saveur de tes larmes, 
Et au goût de bonheur, expériences de ton âme.  

Le vent du large rit et joue  dans tes cheveux,
Et la mer est  de feu entre deux rochers creux,
Le soleil orangé envahit l’horizon,  
Déversant sur les eaux  ses couleurs de passion.

Et puis toi, tu t’en vas sur ton bateau sans voile,
Attendant qu’apparaissent dans le ciel les étoiles,
Tu t’en vas loin là-bas, sur ton beau bateau blanc,
À la rame, tu suis, le vol des goélands.

Et la mer ondulante, chuchote à ton oreille,
Les plaisirs de la vie, aux saveurs sans pareilles,
Et tout comme la mer, je viens te murmurer,
Des mots d’amour comme seul, mon cœur peut te donner. 

Et puis, soit sûre aussi, que je pars avec toi,
Ta traversée, belle dame, je la fais avec toi,
Car ta rame est ma rame, ton défi est le mien,
Ton cœur est dans mon cœur et je suis dans le tien.

Tu es ce beau miroir, où j’aime à me mirer,
Et comme tous et chacun, nous sommes cette traversée,
La différence n’est, que dans la forme qu’elle prend,
Te voilà  qui renaît! Et la leçon s’apprend!

Je te garde une place, tout au fond de mon cœur,
Et je veille sur toi, comme sur une petite sœur,
Je te suis chaque jour, pendant cette épopée,
Ici ou bien là-bas, je t’attends sur le quai.

Belle héroïne merci, d’être entrée dans ma vie,
D’être entrée dans mon cœur, pour mon plus grand bonheur,
Ô, Grande Femme, tout comme moi tu portes,
La Grande Mère Divine, en toi, en quelque sorte.

Avec amour,

Brigitte

jeudi 2 juin 2011

Tu es le soleil de minuit,

Dans la nuit étoilée, je les ai vus danser,
Ces mots doux que mon cœur, te chantait en secret,
Dans la paix de la nuit, mon cœur s’est élargit,
Pour pouvoir contenir l’amour qui nous nourrit.

Mon cœur s’est élargit, pour toi assurément,
Pour devenir plus grand, te donner autrement,
Ces mots qui dansent, qui rient et qui nous réunissent,
Ces mots qui font vibrer, nos cœurs pour qu’ils s’unissent.

Chante mon cœur en joie, pour que la vie soit belle,
J’ai mis ce soir  pour toi, ma robe de dentelle,
Pour danser avec toi, la valse des beaux jours,
Célébrer avec toi, la victoire de l’amour.

Tu es comme un grand bois, aux multiples essences,
Aux multiples couleurs, aux multiples fragrances,
Et la lumière y filtre, tout à travers les branches,
Jusque dans sa clairière, là  parmi les pervenches.

Quand tu ouvres les bras, à ces arbres tu ressembles,
Aux branches enveloppantes, tout comme celles des grands trembles,
Et j’aime à me blottir, dans tes bras rassurants,
Et j’aime à me laisser, bercer comme un enfant.

Comme ces lagons bleus, aux eaux claires et profondes,
La chaleur de ton Être, irradie comme une onde,
Et réchauffe mon corps, et réchauffe mon cœur,
Fait, que je me sens bien, entourée de douceur.

Ton rire est un grand champ, parsemé de muguet,
Dont chaque clochette tinte, de sa note de mai,
Et fait vibrer chacune, des cellules de mon Être,
Pour être au diapason de celui de ton Être.

Et ton sourire radieux, a gardé, en secret,
Le charme d’un sourire, d’enfant émerveillé,
C’est alors que tes yeux, se remplissent d’étoiles,
Comme le firmament, quand la nuit met son voile.

Tu es comme le vent, soufflant sur l’océan,
Poursuivant sans répit, tes rêves les plus ardents,
Tu es de ceux qui aiment,  à aller de l’avant,
Pour mieux servir encore, de la Terre, les enfants.

Enfant de l’Univers, la Terre est ton vaisseau,
Toi, l’enfant de la Terre, ton corps est son joyau,
C’est le temple sacré, de ton âme incarnée,
Qu’à ta naissance elle a, choisi pour évoluer.

Tu es le phare qui luit, au milieu de la nuit,
Le soleil de minuit, qui le soir, resplendit,
Tu sais par ta lumière, mon chemin éclairer,
Faire retrouver le port, à ma barque égarée.

Merci  à toi  beau prince, d’être là chaque jour,
D’être ce beau miroir, ce miroir de l’amour,
D’être là, près de moi, pour que je me comprenne,
Le reflet de moi, m’aime, le reflet de toi, t’aime.

Je t’aime
Brigitte

lundi 16 mai 2011

L’eau de là

La petite chute d’eau, derrière la maison,
Me fait penser au temps, où nous nous promenions,
Sur les chemins de terre, pour aller retrouver,
La rivière qui bordait, ce hameau délaissé.

Ah! Comme il était beau, ce coin de paradis,
Nourrissant à loisir, nos élans, nos rêveries,
Comme en ces temps passés, j’aime à me retrouver,
Près du petit ruisseau, derrière le chalet.

Ce petit coin d’amour, à toi je veux l’offrir,
Pour avoir partager, mes jeux et puis mes rires,
Dans notre enfance heureuse, notre jeunesse créative,
Dans un élan de cœur et que la joie s’active!

Je sais que toi aussi, tu as un paradis,
Un beau jardin secret, et sa cascade aussi,
Où les ondines veillent, sur cet endroit sacré,
Sur la paix de ton âme, sur ce lieu familier.

Là, dans la paix du cœur, tu viens t’y reposer,
Afin de libérer, ton esprit tourmenté,
Par les difficultés, que tu as rencontrées,
Dans tes occupations, au cours de la journée.

Ce travail de service, c’est ton cœur qui le fait,
Tu donnes à tes patients, tant et tant de bienfaits,
Ces êtres qui sont là, dans cette institution,
Et qui ont tant besoin, d’amour et d’attention.

Et le soir tu retrouves, avec plaisir ton nid,
Cet endroit de quiétude, ton doux havre de vie,
Où tes amis félins, sont là pour t’accueillir,
Pour t’apporter la joie, et d’amour te nourrir.

Si ton chemin de vie, semble parfois si lourd,
Si difficile à vivre, c’est pour connaître un jour,
La joie de retrouver, dans ton être intérieur,
L’enfant à consoler, l’enfant en toi, rieur.

L’enfant qui sait si bien, ce dont il a besoin,
Cet enfant qui demande, de lui, qu’on prenne soin,
Il a envie de rire, envie de s’amuser,
En lui, la joie de vivre, il veut la retrouver.

Et tu sais, ô combien, dans le fond de ton cœur,
Qu’en lui faisant une place, c’est alors le bonheur,
En le faisant revivre, tu acceptes enfin,
D’alléger le fardeau, d’une vie sans entrain.

Si ton cœur ne connaît, que l’amour en partage,
Pour les autres humains, comme pour les paysages,
Et pour les animaux, dont tu sais t’entourer,
Alors tu es bénie, et l’Univers le sait.

L’Univers te chérit, veut que tu t’épanouisses,
Veut que tu resplendisses afin qu’Il se réjouisse,
Car ton bonheur tu sais, pour Lui est essentiel,
Tu es l’étoile aimée, qui brille dans Son ciel.

Et, vois-tu aujourd’hui, je veux, petite sœur,
Dans mes bras te bercer, te serrer sur mon cœur,
Honorer la beauté, de ton être intérieur,
Te donner mon amour, mon amour en douceur.

Merci à toi, d’être dans ma vie,
Je t’aime,

Brigitte

samedi 7 mai 2011

Une nouvelle âme est née,

Si tu as pris ton temps pour enfin arriver,
C’est que tu étais bien, dans son ventre lovée,
Le ventre de ta maman, dans lequel tu dormais,
Si confortable et chaud, dans lequel tu rêvais.

Et voilà, tu es née, et tu les as mêlés,
Tes deux parents pour toi, pensaient avoir trouvé,
La plus belle façon, la plus belle naissance.
Ton arrivée s’est faite, plutôt sans complaisance.

Et oui, tu leur as fait, un joli pied de nez.
Voulais-tu leur montrer, ton caractère enjoué,
Espiègle et rieuse, née pour mettre des couleurs,
Née pour mettre de la joie, dans leurs vies, dans leurs cœurs.

Ce prénom que tu portes, tu leur as insufflé,
Sa musique est si douce, sa musique est enjouée,
Elle nous dit que tu viens, de ces royaumes ailés,
Ces mondes magnifiques, des anges habités.

Tu es là pour veiller, sur les meilleurs parents,
Que ton âme a choisis, pour être leur enfant,
Que ton âme a choisis, pour votre évolution,
Dans l’amour qu’ils te portent, l’amour sans condition.

Princesse des étoiles, lumière dans la nuit,
Tu scintilles maintenant, petite étoile, tu luis,
Et tu viens éclairer, nos vies et leurs sentiers,
Tu viens ensemencer, nos jardins de beauté.

Tu souris au bonheur, tu souris à la vie,
Tu chantes dans ton cœur, la joie est ton amie,
Chacune de tes cellules, bouillonne et vibre en toi,
Vibre au son de l’amour, vibre au son de nos voix.

Merci à tes parents de nous avoir donné,
Toi, ce précieux présent, toi, ce beau nouveau né,
Merci à ta maman, et pour t’avoir porté,
Et pour aussi le jour, le jour t’avoir donné.

Petite fleur d’amour, placée sur mon chemin,
Petite âme veux-tu, que je te prenne la main,
Pour pouvoir encore mieux, ressentir ta présence,
Apprécier la beauté, de ton Être qui danse.

Je t’aime, petite âme, bel ange des matins rieurs,
Je t’aime, et tu es pour toujours, bien présente dans mon cœur.

Brigitte

mercredi 20 avril 2011

POÉSIE POUR PÂQUES

Alléluia!!! Christ est ressuscité en moi!

Alléluia, je L’ai trouvé, enfin trouvé,
Celui que je cherchais, sans y être arrivée,
Après de grands détours, tout au long de ma route,
Un jour je l’ai reçu sur mon chemin de doute.

J’ai tant et tant cherché, le Christ à l’extérieur,
Et Il m’a répondu, en bon et beau farceur:
« Je suis au fond de toi, dans ton Être Intérieur,
Ouvre donc un peu les yeux, ne regarde pas ailleurs. »

Je lui ai demandé, alors de Se montrer,
Il est parti à rire, à rire à en pleurer,
Et Il m’a dit tout bas, ces mots de vérité :
« Vas chercher un miroir, tu verras Ma beauté.»

Vers le miroir, je me suis donc précipitée,
Ce que j’ai vu alors, dans un halo doré,
M’a fortement surprise, hautement impressionnée,
C’était un beau visage, lumineux de bonté.

Se pourrait-il que Christ, m’aurait ainsi donné,
Son Amour, Sa Lumière, Sa Grâce, Sa beauté,
Que toutes mes cellules, se soient mises à vibrer,
Reconnaissant leur Maître, en Lui L’ayant trouvé?

L’ayant enfin trouvé, et prête à L’écouter,
A écouter Sa voix, en toute simplicité,
Qui façonne les mots, pour en faire des amis,
Ces mots pour éveiller, mes cellules endormies.

« Ne cherche plus, Je suis en toute création,
Dans l’autre que tu croises, en plein cœur de l’action,
Qu’il soit prince ou mendiant, en son cœur il possède,
L’Étincelle Divine, comme unique remède. »

« L’Étincelle Divine, lorsqu’Elle est reconnue,
Apporte la Lumière, pour que l’ombre soit vue,
Pour que l’ombre s’efface, et laisse alors la place,
À celui qui n’a plus, à porter tous ces masques. »

« Toujours, toujours Je suis, dans ce sourire radieux,
Qu’on te donne, que tu donnes, un instant merveilleux,
Dans le chant de l’oiseau, dans ton écoute aimante,
Dans la rose épanouie, à l’odeur enivrante. »

« Écoute bien Ma Voix, c’est Ta petite voix,
Qui te guide, qui te mène, et te met sur la voie,
Te mène à la fontaine, pour ton cœur purifier,
La fontaine de cristal, pour te réunifier. »

« Pour te régénérer, La fontaine de jouvence,
Est là au fond de toi, en plein cœur du silence,
Là, pour entendre Ma Voix, Ma Voix qui te ramène,
À toi et à toi-même, au cœur de toi, te mène. »

« Cet amour que tu portes à toute la Création,
C’est Mon Amour en toi, cette précieuse vibration,
Qui te porte, te soulève, comme une vague de fond,
Chamboulant tout ton être, transcendant ta vision. »

Alléluia!!! Christ est ressuscité en moi!
Brigitte

mardi 5 avril 2011

J’ai entendu le printemps chanter

Ce matin, j’ai entendu, le printemps chanter,
À travers un oiseau sur un arbre perché,
Et puis, j’ai entendu le printemps murmurer,
À travers le ruisseau qui s’est mis à couler,

Et ce matin, j’ai vu le printemps exploser,
À travers les bourgeons aux grands arbres accrochés,
Et j’ai senti le sang bouillonner dans mes veines,
Comme la sève neuve, dans les branches d’ébène.

Il m’est alors venu, une envie de danser,
La valse du printemps, la valse enchantée,
Et j’ai alors senti, un frisson de bonheur,
Un éclair fulgurant a traversé mon cœur.

Les rayons du soleil ont caressé ma peau,
Je me suis sentie naître, comme le printemps nouveau,
Mes yeux ont découvert, toutes ces fleurs nouvelles,
Et j’ai senti la joie, chanter sa ritournelle.

Oui, j’ai vu le printemps, s’habiller de vert tendre,
Se vêtir de lumière, sa voix s’est fait entendre,
Il m’a transmis la joie, de tout son renouveau,
Et c’est de vie nouvelle, qu’il m’a fait le cadeau.

J’ai senti dans mes veines, le sang neuf bouillonner,
Propulser par un cœur, vibrant de nouveauté,
Un cœur tout élargi, un cœur pouvant aimer,
Comme jamais il n’a su, auparavant aimer.

Mon corps s’est allégé, de ses bleus du passé,
De ses anciens habits, de ses codes dépassés,
Le voilà tout heureux, sautillant de gaieté,
De cette joie enfantine, qui fait sa légèreté.

Terminé les longs jours, d’un hiver de glaçons,
Et qui givrait mon cœur, de mémoires sans façon,
Maintenant c’est peau neuve, que je fais sans pitié,
Sans égard au passé, je suis un nouveau-né.

De chenille me voilà, devenue papillon,
Et défroissant mes ailes, je sors de mon cocon,
Pour aller butiner, sur les fleurs printanières,
Et pouvoir m’envoler, là-bas vers d’autres sphères.

Les cellules de mon corps se sont régénérées,
La lumière y circule, son cristal fait vibrer,
Tout comme un violon, venant d’être accordé,
Prêt à jouer ses airs, divinement inspirés.

Brigitte

jeudi 24 mars 2011

Et la colombe sera ma messagère d’amour,

Si la nature en fête, s’est habillée de blanc,
C’est que nulle autre que, la colombe, elle attend,
Et le ciel est bien bleu, en ce début de printemps,
Alors, elle va venir, la fée ailée des champs.

Elle va venir chercher, les jolis mots d’amour,
Que mon cœur veut t’offrir, spécialement en ce jour,
Ces mots qui te feront, te sentir belle autant,
De par leur vibration, en dehors qu’en dedans.

Car toi aussi tu es, enfant de l’Éternel,
Et Il t’aime tu sais, tu Lui es essentielle,
Et ton Âme a choisi, et de vouloir tomber,
Et de vouloir connaître, comment se relever.

C’est pourquoi Elle est belle, c’est pourquoi Elle est grande,
De son chemin de luttes, Elle en fait une offrande,
Ses expériences uniques, sont celles de ta vie,
Sont celles qui chaque jour, chaque jour t’enrichissent.

Et voilà que pour toi, une nouvelle vie commence,
Alors, fait-là toi belle, et joue-toi ta romance,
Car toi seule sais ce que, dans le fond de ton cœur,
Tu veux et tu désires, pour vivre le bonheur.

Écoute la petite voix, celle qui te sert de guide,
C’est elle qui te murmure, quand tu sais faire le vide,
Quand tu lui fais appel, quand le mental se tait,
L’Univers te répond, quand le silence se fait.

La vie est merveilleuse, quand on lui fait confiance,
La vie est fantastique, tout comme un tour de danse,
Et le Créateur veut, pour toi le plus grand bien,
Veut que tu ris, tu chantes, sois heureuse, ô combien!

Ah! Voici la colombe, qui arrive doucement,
Tiens, ma douce colombe, voici ce document,
Vas et porte-le donc, dans ton bec, précieusement,
Là- bas, où vit ma sœur, vas, vole allégrement!

Porte-lui ce poème, que pour elle j’ai écrit,
Pour qu’elle puisse en lisant, se reconnaître ainsi,
Ce poème dans lequel, tout l’amour de mon cœur,
Là, je l’ai déposé, pour ma petite sœur.

Je te serre sur mon cœur et te prends dans mes bras,
Merci de nous montrer ce courage que tu as,
Et dans ce beau moment, que nous fait le présent,
Jouissons de ce cadeau, bien au-delà du temps.

Je t’aime, petite sœur.

Brigitte

jeudi 10 mars 2011

Dans les bras d’une mère

Il est un coin sur terre, au-delà de la mer,
Qui respire le vent, et respire le vert,
Un espace qui chante, la voix de mon enfance,
De mon adolescence, au cœur de l’insouciance.

Dans cet endroit paisible, j’y ai trouvé un nid,
Confortable et douillet, qui un jour m’accueillit,
Et de ce nid douillet sont partis trois enfants,
Pour voler de leurs propres ailes, comme des grands.

Pour donner à leur mère, des petits oisillons,
Pour gaiement à leur tour, faire l’éducation,
De leur progéniture, venue les entourer,
Et faisant d’elle une, Grande –Mère à vénérer.

Et leur maman oiselle, dont j’aime à vous parler,
A su de ses deux ailes, si souvent les bercer,
Les nourrissant d’amour, les chérissant souvent,
Jouant à leur apprendre, leur apprenant en jouant.

Ils ont dû la prêter, à d’autres oisillons,
Venus à son école, pour faire leur instruction,
Venus près d’elle apprendre, apprendre à s’épanouir,
Pour nourrir leur passion, afin de la vie jouir.

Elle en a vu grandir et grandir des enfants,
Ouvrant son cœur d’amour aux petits, comme aux grands,
Les aimant chacun d’eux, leur donnant sans compter,
Faisant d’elle bien plus, qu’une enseignante aimée.

Riant et s’amusant à développer leurs sens,
Le meilleur de leur être et leur intelligence,
Leur contant des histoires pour leur émerveillement,
Leur imagination nourrir, évidemment.

De sa main caressante, leur visage effleurant,
Pour les mettre en confiance, comme près de leur maman,
Les portant sur son cœur pour leurs larmes sécher,
Dans ses bras chaleureux, ils aimaient se lover.

Cette âme généreuse est aussi mon amie,
Depuis longtemps déjà, précieuse comme un rubis,
Se mouvant avec grâce, avec fluidité,
Belle et souveraine, sereine est sa beauté.

J’honore et je vénère, sa discrète présence,
Son amitié fidèle, au-delà des distances,
Au-delà de la mer, au-delà de l’absence,
Et dans mon cœur vibrant, toujours est sa présence.

Belle femme, belle reine, belle dame de cœur,
À toi, je dis, je t’aime, avec tant de bonheur,
À toi, je dis merci, d’être de mes amis,
À toi, je dis merci, d’ensoleiller ma vie.

Je te serre à présent, très, très fort sur mon cœur,
Pour que tu puisses alentours, irradier le bonheur,
La chaleur de deux cœurs battant à l’unisson,
Faisant de cet instant un délicieux frisson.

Je t’aime,

Brigitte

lundi 28 février 2011

Aux deux malicieuses lucioles

Et voilà… Vous venez, à peine d’arriver,
Que déjà vous voulez, voulez vous distinguer,
En nous faisant à tous, un joyeux pied de nez,
« Non, nous ne naitrons pas, comme vous l’aviez pensé! »

Tout ça à commencé, à la fécondation,
De un vous avez fait, deux petits « germillons »,
De plus, vous arrivez, bien précipitamment,
Pour couronner le tout, pas conventionnellement.

Il semble que déjà, vous avez bien à dire!
Vous, nos précieuses lucioles, lumineuses à ravir,
Et, nous vous accueillons, avec tant de chaleur,
Avec un grand bonheur, qui nous fait chaud au cœur.

C’est de cette chaleur, que vous vous nourrissez,
Dans vos petits berceaux, au chaud, là, vous rêvez,
Alors « dormez en paix », petites lucioles aimées,
Car papa et maman, sont là pour vous veillez.

C’est là, dans ces berceaux que je vous imagine,
Toutes deux, si petites, si fragiles et si fines,
Lovées comme dans le ventre de votre maman,
C’est la vie, qui circule en vous, si puissamment.

Je dépose sur vos joues, des baisers de velours,
J’effleure de mon doigt, votre petit minois,
Je vous serre sur mon cœur, bien sûr, tout en douceur,
Je vous prends dans mes bras, pour ma plus grande joie.

Je vous offre l’amour, de mon cœur attendri,
Et je vous dis, merci, d’être là, dans nos vies,
De nous avoir choisis, pour être votre famille,
Deux lucioles qui scintillent, deux étoiles qui brillent.

Et puis, vos deux parents, je veux les remercier,
D’avoir un jour conçu, vous, ces charmants bébés,
Vous, ces petites lucioles, qui sauront éclairer,
Le chemin de leur vie, de mille lueurs dorées.

Oui, à toi, Belle Dame, ma Jolie Libellule,
Reine et mère maintenant, en délaissant ta bulle,
Qui en donnant le jour, à ces deux beaux enfants,
Nous a donné la joie d’un merveilleux présent.

À toi Beau Sire, son tendre et Charmant Ver- Luisant,
Sire roi d’une famille, ton règne commençant,
À toi, je dis merci, d’être le phare puissant,
De ce foyer heureux, le père rayonnant.

Je vous aime …
Brigitte

lundi 21 février 2011

Car toi aussi tu es, enfant de l’Univers,

Car toi aussi tu es, enfant de l’Univers,
Et expérimenter est ta raison sur terre,
Puisque tu es toi-même, un facteur d’attraction,
Alors, amuse-toi, à créer l’illusion.

Tout ce qui est un jour, arrivé dans ta vie,
Un jour, tu l’as pensé, un jour tu te l’es dit,
Et consciemment ou non, un jour tu l’as crée,
Pour que tu puisses, ici ton âme faire évoluer.

Tu le savais déjà, bien avant d’apparaître,
Et bien avant de voir, le jour sur cette Terre,
Tu as apporté avec toi, les souvenirs d’antan,
De beaucoup d’autres vies, les expériences d’avant.

Cette fameuse loi, de la Cause à l’Effet,
Fait que tu récupères, ce que tu as semé,
Cette loi Universelle, qui agit pour nous tous.
Qui agit dans ta vie, dans ta vie chaque jour.

Et si la vie n’est rien, d’autre que vibration,
Alors, quelle qu’elle soit, nous la retransmettons,
C’est elle qui attire, nos élans, nos passions,
C’est elle qui nous renvoie le beau et le moins bon.

Nous sommes tous des êtres, électriques, magnétiques,
Nous attirons à nous, des moments magnifiques,
Nous attirons à nous, des moments pathétiques,
Car nos ressentis font, nos expériences uniques.

Alors, sans jugement, tout dans la compassion,
Sois donc heureux et fier, d’accomplir ta mission,
Celle d’être un Être Unique, dans toute ta Beauté,
Dans ton Immensité, ta Luminosité.

Et dans la gratitude, de tout ce que tu as,
Pour tout ce que la vie, t’a donné jusque là,
Et si parfois tu penses, qu’elle t’en a un peu pris,
Réjouie-toi, car ton âme l’avait déjà choisi.

Pour devenir, plus beau, pour devenir plus grand,
Car vois-tu, tu es Grand, parmi les autres Grands,
Acceptant de jouer ton rôle, sur cette Terre,
Acceptant chaque jour, de croître pour mieux renaître.

Et dans l’amour que seul, tu portes dans ton cœur,
Toi, mon frère de sang, toi mon frère de cœur,
Ouvre bien grand la porte, la porte du bonheur,
Pour que tu puisses vraiment, en goûter la saveur.

Toi, poussière d’étoile et de divinité,
Tout comme le Créateur, qui un jour t’a crée,
Sème, sème à tous vents, la Paix, la Compassion,
Que l’Amour soit pour toi, ta plus haute vision.

Si ton œil averti, de photographe inné,
T’a aussi souvent fait, découvrir la beauté,
Saura-t-il regarder, dans toute sa profondeur,
Ce qui ne peut se voir, qu’avec les yeux du cœur?

Le Suprême a semé, cette étincelle en toi,
Pour qu’elle brille, qu’elle rayonne, qu’elle te donne la Foi,
De voir, au jour le jour tes désirs exaucés,
Pour vibrer ton bonheur, devant le monde entier.

Alors, dans le cadeau que nous fait le présent,
En unissant nos cœurs, gratifions nos parents,
De nous avoir ainsi, réunis dans cette vie,
Afin d’apprendre ce, qui devait être appris.

Et dans ce bel Amour, qui jaillit de nos cœurs,
Serrons-nous maintenant, serrons-nous sur nos cœurs,
Dans cette incarnation, savourons le bonheur,
D’avoir choisi de naître, comme frère, comme sœur.

Avec Amour
Brigitte

dimanche 13 février 2011

Poésie pour la St Valentin…Amour…Amour, toujours…

L’Amour c’est le chant de l’oiseau, qui s’égosille dans le matin,
Et c’est le murmure du ruisseau, que tu entends dans le lointain,
C’est la vie qui palpite en toi, et toute cette joie que tu ressens,
C’est le mouvement de la vague, qui déferle en toi, en tout temps.

L’Amour, c’est un bouquet de roses, au parfum si suave et léger,
Dont le doux velours de leurs robes, de plaisir te fait frissonner,
C’est quand leur parfum si subtil, te remplit, t’étourdit, se mêle,
À chaque cellule de ton corps, à chaque fibre de ton être.

L’Amour, c’est comme un champ de blé, immense, doré et ondulant,
Ce sont tes deux bras qui enlacent, et qui accueillent tout en berçant,
Ce sont ces étoiles dans tes yeux, qui donnent ce regard amoureux,
Et c’est ton sourire, c’est ta bouche, qui sait dire des mots merveilleux.

L’Amour, c’est beau, c’est doux, c’est tendre, c’est chaud comme le soleil d’été,
C’est doux comme la soie de ta peau, dont ton corps s’est enveloppé,
Et c’est beau comme un paysage, que tu découvres lors de voyages,
C’est tendre tout comme l’enfant, qui vient de naître, en nouveau sage.

L’Amour ne peut pas se comprendre, l’Amour peut simplement se vivre,
Et l’Amour ne peut pas se prendre, l’Amour n’est qu’une route à suivre,
Il se trouve au fond de ton cœur, prêt à s’amplifier, se donner,
L’Amour est Lumière et Conscience, et Transparence et Vérité.

L’Amour c’est l’expansion du cœur, l’énergie du feu allumé,
C’est l’expansion de la Conscience, la Conscience de l’Unité,
L’Amour c’est toi et puis c’est l’autre, que tu acceptes comme il est,
Que tu acceptes dans son âme, et dans toute son unicité.

C’est comme une communion d’âmes, une vibration qui remplit,
Une Union avec le Divin, dont toute chose fait partie,
Il est partout sur ton chemin, si tes yeux tu sais les ouvrir,
Et si tu sais tendre la main, ton cœur saura Le ressentir.

Pourquoi vouloir chercher l’Amour, puisqu’il est là, au fond de toi,
Il  a toujours trouvé sa place, en t’ouvrant, tu lui as fait foi,
Amuse-toi à le perpétuer, à travers l’échange et le don,
Puisque c’est tout ce que tu crées, à partir de Sa vibration.

L’Amour est au-delà du temps, l’Amour est par delà l’espace,
Et l’Amour naît de la fusion, d’un regard, d’un son qui embrasse,
Dans la fusion de celui qui, regarde et qui est regardé,
L’Amour c’est un éclat de rire, dont la magie sait opérer.

L’Amour est enfant de partage, et puis l’Amour est liberté,
 Tu le reçois en héritage, tu ne peux pas l’emprisonner,
Et l’Amour n’a pas de mesure, il ne peut être quantifié,
L’Amour est entier, Il est pur, Il ne peut être entaché,

L’Amour c’est un élan des cœurs, c’est nous, quand nous sommes réunis,
Et c’est grand comme un Océan, d’Univers, de Mondes et de Vies,
L’Amour, c’est Nous, dans Notre Essence, Nous l’Amour au-delà des sens,
Un abandon total à ce qui est, ce moment pur qui nous encense.

L’Amour c’est le regard, que porte le Créateur sur Sa Création.

Je vous aime
Brigitte

mercredi 9 février 2011

Et le firmament t’offre son océan d’étoiles…

Et le firmament t’offre son océan d’étoiles,
Car ce soir à la brune, tu découvres la toile,
Là tu hisses ta voile, sur cette voie lactée,
Pour au milieu des astres, sur cette mer voguer.

Et la lune d’airain, dans la nuit qui t’étreint,
Te sourit, te salue et puis te tend la main,
La reine de la nuit, te tend son diadème.
Elle te déclare reine,  là dans ton cœur qui aime.

Te voilà devenue, déesse de la nuit,
Pour qu’au grand jour tu puisses, illuminer ta vie,
De ta douce lumière, légère, opalescente,
Qui te donne à toute heure, cet air d’adolescente.

Et puis, tu as aussi, cette allure altière,
De ces femmes d’ailleurs, ces femmes de d’autres sphères,
Qui gravitent là- bas, semant leur plénitude,
En d’autres paysages, régnant dans la quiétude.

Et les cheveux au vent, Pégase chevauchant,
Cassiopée balayant, de ton regard puissant,
Tu traverses chacune des constellations,
L’Univers tout entier est ton champ d’attraction.

Et parmi les étoiles, de son rire  cristallin,
L’une d’entre-elles rit, jusqu’au petit matin,
Et cet éclat de rire, que toi seule peut entendre,
C’est pour toi un empire, que nul ne peux te prendre.

C’est pourquoi, chaque nuit, quand elle allume son phare,
La Reine de la nuit, lumineuse sous son far,
Est là pour te veiller, éclairer ton chemin,
Alimentant tes rêves de joyeux lendemains.

Ondulante gardienne, inspirant la romance,
Et pour que ta nuit soit, et pour que ta nuit danse,
Elle fait chanter l’amour au creux de l’oreiller,
Pendant qu’à pas de loup, l’aube vient s’annoncer.

À toi je dis je t’aime, Belle Dame de la nuit,
Belle Dame des beaux jours, amoureuse de la Vie,
Riante et Lumineuse, de ton Être irradiant,
À toi je dis je t’aime, à toi au cœur aimant.

Brigitte

samedi 29 janvier 2011

Par delà l’Océan

Par delà l’Océan, en ma terre natale,
Lorsque le bleu du ciel se fait un peu plus pâle,
Et que dansent les feuilles et valsent au vent d’automne,
Je pense alors à toi, qui doucement chantonne.

Je pense alors à toi, dans ce décor si riche,
Comme à un être unique, une femme aux yeux de biche,
Tu es cet être unique qui, pour tant de raisons,
A choisi de venir, nous jouer sa chanson.

A choisi de venir, a choisi d’apparaître,
En cette magnifique, saison qui t’a vu naître,
Lorsque que la chevelure des arbres se fait rousse,
Et lorsque fatiguées, les feuilles tombent sur la mousse.

Oui, toi que j’ai vu naître et que j’ai vu grandir,
Avec le temps qui court, et que j’ai vu mûrir,
Tu es venue semer, tes graines de chaleur,
Tes graines de bonté, pour réchauffer nos cœurs.

Car, toi qui as choisi d’illuminer nos vies,
Dans un élan de cœur, nous offrir tes sourires,
Nous offrir ton amour, vibrant et magnifique,
Tu sais donner ta joie, en tant qu’Être angélique.

Belle princesse aimée, qui un jour rencontra,
Ton mousquetaire et prince, et qui te féconda,
Lors d’une folle escapade, en des terres lointaines,
Qui en te faisant mère, a fait de toi une reine.

Débordante de vie, de joie et d’énergie,
Riante et magnifique par tes éclats de rire,
Tu es devenue mère, aimante et attentive,
Pour tes petites fées, câline et protectrice.

Mère adulée de deux, magnifiques princesses,
Par la force de l’amour, transformée en déesse,
En une femme épanouie, par la joie d’être mère,
En reine de beauté par ta grâce souveraine.

Douce Dame au grand cœur, aux cent mille partages,
Tu brilles comme un soleil, lors d’un jour sans nuage,
Tu luis comme l’éclair, tu vibres comme le son,
Tu viens nous faire apprendre, la plus belle leçon.

La leçon de la vie, qui nous dit chaque jour,
Que nous sommes tous nés, que nous sommes nés pour,
Pour vivre heureux ensemble, pour rire, nous amuser,
Au théâtre de nos vies, dans l’amour échangé.

Merci de partager à tout ton entourage,
Ta luminosité, ta splendeur, ton courage,
Par ta légèreté, toute ta force de vie,
Que tu sembles toujours avoir, que je bénis.

C’est pourquoi je te dis, belle dame d’amour,
Merci du fond du cœur, d’être là parmi nous,
D’être là, dans ma vie, comme une étoile qui brille,
Dans mon cœur, à jamais, tu es là, tu scintilles.

Je te serre maintenant, très, très fort sur mon cœur,
Afin que toi aussi, puisses sentir le bonheur,
De mon amour pour toi, et de sa profondeur,
De t’avoir comme rose, dans mon jardin de fleurs.

Je t’aime.

Brigitte

samedi 22 janvier 2011

À travers toi,

À travers toi, j’ai vu tourner les hirondelles,
Dans le ciel bleu printemps, de jolies demoiselles,
Au-dessus de la grange, venues y faire un nid,
Pour dans un nid douillet, y couver leurs petits.

Et tout comme elles un jour, tu as pris ta volée,
Pour à ton tour heureux, t’en aller convoler,
Avec ta douce amie, dans un p’tit coin de terre,
Et y semer l’amour et un enfant y faire.

Tu as fait ton cocon, dans ce coin de pays,
Douillet et chaleureux, un p’tit coin de paradis,
Et tu t’amuses dans, ton ancestral manoir,
À y développer les arts divinatoires.

À y développer, l’art de l’aquarelle,
Exprimer la beauté, de ton âme qui t’appelle,
À t’élever plus haut, que la nature humaine,
Dans des pensées plus pures, des pensées plus sereines.

Rénover la maison, t’as permis de renaître,
À toi et à toi-même, pour le héros en être,
À être le bâtisseur, de ton Être Intérieur,
Plus riche que ce que, tu montres à l’extérieur.

Te voilà bien muni, pour que ta vie soit belle,
Redonner de tes arts, pour que ta vie soit celle,
Celle que tu choisis, pour vibrer le bonheur,
Donner à ta famille, toute la joie de ton cœur.

La puissance de ton Être, qui en toi se réveille,
Tu la vibres chaque jour, après ce long sommeil,
Tu  découvres vraiment, ce pour quoi tu es né,
La beauté de ton âme, t’appelle à rayonner.

À travers toi, j’ai vu tourner les hirondelles,
Dans le ciel bleu printemps, de jolies demoiselles,
Venues gaiement chanter leur claire ritournelle,
Pour que je me souvienne, de toi à travers elles.
Brigitte

vendredi 14 janvier 2011

À toi, petit ange…

À toi  petit, que je ne connais pas encore,
Et que pourtant je sens et perçois dans ce corps,
Que ta mère te prête, pour que tu prennes forme,
Pour que tu te nourrisses et pour que tu y dormes.

De mois en mois, en son ventre qui s’arrondit,
Tu y as fait ta place, tu y as fait ton nid,
Et chaque fois que sa main, caresse son ventre,
Elle t’envoie cet amour, dont tu en es le centre.

Tu entends ses doux mots et sa voix qui te chante,
Elle fredonne pour toi… sa plénitude t’enchante,
Tu ressens chaque chose qui entre dans sa vie,
Elle est toi, tu es elle, tu reçois son senti.

Et ton papa, tu sais, encore tout ébahit,
De la magie qui t’a fait te lover, ici,
Dans cet espace intime, dans ce dôme si chaud,
Pour toi, son tout petit, il n’en a plus de mot.

Ils ont tout deux si hâte, hâte de te serrer,
Te serrer dans leurs bras, de pouvoir te toucher,
Et de pouvoir enfin, leurs baisers te donner,
Toi, leur ange adoré, venu pour les charmer.

Tu viens pour leur permettre, d’agrandir leur amour,
Au fil de tes sourires, tes premiers pas… un jour,
Dans l’amour qui se doit, d’être inconditionnel,
D’être au-delà de ce, qui semble conventionnel.

Toi qui n’as pas encore, montré le bout du nez,
Dis-moi, sais-tu comment, on prévoit te nommer?
Toi qui te fais discret, tu viens pour faire ta trace,
Et puis pourtant déjà, tu prends, tellement de place.

Autour de tes parents, nous voilà réunis,
Dans la joie et l’amour, de nos cœurs attendris,
Afin de préparer et ensemble fêter,
Ta venue, pour nous tous, tant et tant espérée.

Merci à toi bel ange, de nous avoir choisi,
Pour être ta famille, sur Terre, et ses amis,
Merci de nous faire vivre ces moments de magie,
De venir librement ensoleiller nos vies.

Alors, petit d’amour, petit, dors bien en paix,
À l’abri dans ton nid, qui grandit à souhait,
Et continue à croître, pour que tu sois parfait,
Quand va venir le temps, le temps pour toi de naître.

Je t’aime tant déjà, joli bébé d’amour,
Je te donne un baiser, un baiser de velours,
À bientôt, mon petit, à bientôt, de pouvoir,
De pouvoir m’extasier, devant ton beau minois.

Brigitte