mercredi 31 décembre 2014

POÉSIE POUR L'AN NEUF

Voilà qu’à pas de velours, la nouvelle année,
Chaussée de ses trois cents soixante et cinq souliers,
Arrive et vient  frapper, à ta porte d’entrée,
Pour t’offrir les cadeaux, qu’elle t’a réservés.

Les souliers de Janvier sont de blanc habillés,
Et leurs présents foisonnent de cristaux par milliers,
Reflétant de ta vie, tous ces miroirs croisés,
Irradiant la lumière que tu leur as semée.

Et ceux de février, t’offrent des pages blanches,
Ces pages que tu as, écrites en lettres franches,
À la lumière des jours, elles se révèleront,
Sources d’inspiration, de manifestations.

De mars les souliers, subtilement se remplissent,
De ces frémissements, de prémisses que tu sens,
T’annonçant l’arrivée prochaine du printemps,
Et de son explosion, préparée de long temps. 

Avril voit ses souliers, se remplir de sève,
Cette sève qui nourrit et fait vivre tes rêves,
De cette sève qui circule et qui donne la vie,
Et prépare en tes veines, ce sang neuf qui jaillit.

Et Mai les voit alors, regorger de bourgeons,
Qui se préparent pour, faire leurs floraisons,
Afin que la  beauté de ce mois se dévoile,
Celle que tu as semée, qui te vient des étoiles.

Et les souliers de Juin, fleurissent de bonheur,
Celui du renouveau, tu lui ouvres ton cœur,
Les jeunes poussent lèvent, celles que tu as chéries,
La magie du printemps, est celle de ta vie.

Juillet a des souliers, luisant de mille feux,
De ses souliers vernis, valsant aux jours heureux,
Recevant par milliers ses roses, en brassées,
Aux parfums des chemins que tu as sillonnés.

Et le mois d’Août les voit, dans ses douceurs d’été,
De ta magnificence étalant ta beauté,
Et le soleil plus chaud, rayonne de bonheur,
Et tu chantes ta joie de sentir sa chaleur.

Septembre  les rempliras encore plus d’allégresse,
Ces cornes d’abondance, qui te mettent en liesse,
Et qui font de ce mois, un mois plein de promesses,
Ouvrant ainsi la voie aux fruits de la tendresse.

De fruits vermeils regorgent, les souliers d’Octobre,
Ces fruits mûris en toi, tous au longs de ces mois,
Ces mois et ces années, passés à te connaître,
Et puis te reconnaître, pour que tu puisses renaître.

En Novembre tes souliers, se mettent à chanter,
Sur tes introspections, à chanter et danser,
Et ce sont de multiples voix qui les remplissent,
Et qui fêtent ta gloire, et qui te définissent.

En Décembre, tu bénis cette année écoulée,
De gratitude sont pleins, à craquer tes souliers,
Car de nombreux présents, elle a su t’apporter,
Ces multiples moments, de générosité.

Cette année n’est vraiment, que ce que tu en fais,
Sensible aux résonances que tu sais faire vibrer,
Semblables aux sons d’amour de ton cœur, ta Présence,
Lumineuse et vibrante, de ton Être l’essence.





                                                                                                            Brigitte

mercredi 24 décembre 2014

Il est né l'enfant divin en toi

Il est né le Divin Enfant,
Chantons tous, Son avènement!
Il est né, Celui qui en toi,
Attendait pour devenir Roi.

Il  est né  dans toute Sa splendeur,
Il est né dans toute Sa grandeur,
Il est né, l’Enfant adoré,
Pour t’apporter la joie d’aimer.

Il est né pour t’apprendre à jouer,
À voir la vie du bon côté,
Et pour t’apprendre à t’étonner,
T’apporter son innocence innée.

L’enfant Soleil, l’enfant Étoile,
Qui se tenait derrière le voile,
Venu te présenter sa toile,
Son Unicité se dévoile.

Et s’Il vient tout juste de naître,
Comment ne pas Le reconnaître?
À Lui, tu te relies souvent,
Lui, l’Amour grand comme l’océan.

Il te fait renaître à toi-même,
À ton essence, pour que tu aimes,
Que tu te tournes vers l’essentiel,
Ton essence venue du ciel.

Il fait de ta vie, ton projet sens,
Un projet dont tu connais l’essence,
Tu reconnais ton droit de naissance,
Tu bénis votre re-co-naissance.

Il était là, en gestation,
Bien lové dans Son blanc cocon,
Faisant que tu Le reconnaisses,
Pour qu’un jour, enfin tu renaisses.

Et voilà, qu’en ces temps de fêtes,
La connexion s’est enfin faite,
En ce jour de nativité,
Fêtons l’Enfant-Roi qui est né.

Et je salue en toi la Mère,
Toi, qui l’as porté en ton sein,
Et je salue en toi le Père,
Qui a crée cet enfant Un.

De l’Esprit du Père, conçu,
De la trame de la Mère, issu,
En toi, il y a fait Sa place,
Pour que la Trinité se fasse.

Votre  Divine Reconnexion,
Se réalise dans la fusion,
Votre Reconnexion Cosmique,
Explose dans son jardin ludique.

Noël, c’est la Paix dans ton cœur,
La Joie de vivre ce grand bonheur,
Noël, c’est l’Amour dans ta vie,
L’Union qu’il crée, par sa magie.

Il est né, le Divin Enfant,
En chacun de nous, en ce jour,
Il est né le Divin Enfant,
Chantons tous son avènement!

                                                                                                   Brigitte

mardi 2 décembre 2014

Tout comme un tournesol,

Tu es un tournesol, qui a poussé parmi,
Tant et tant d’autres fleurs, au milieu d’un jardin,
Celui qui t’a semé, ce jardinier divin,
En ta précieuse graine, tout son amour a mis.

Et tu tournes la tête, vers le ciel, pour mieux prendre,
La divine nourriture donnée par le soleil,
Ton père, depuis toujours, qui veille à ton éveil,
Il t’offre son amour, sa chaleur, en offrande.

Et, tu es comme lui, un généreux soleil,
Apprenant chaque jour, à étendre encore plus,
Tes lumineux rayons qui te vont à merveille,
En jeune apprenti-sage, long est le processus.

Ta forte tige au sol, très bien enracinée,
Supporte ta corolle, entourant le calice,
Qui contient ce nectar, ce fabuleux délice,
Qui va nourrir les reines, donnant de nouveau-nés.

On aperçoit de loin, ta fleur aux mille pétales,
De son jaune doré, illuminant ce lieu,
Autour de toi bourdonnent, les abeilles attirées,
Par le miel de ton cœur, par son éclat de feu.

Avec elles tu échanges, gaiement dans ce grand pré
Ce grand jardin d’Éden, qu’on appelle la Terre,
Où tant de fleurs y ont, joyeusement poussées,
Pour offrir leur beauté, à Gaïa notre mère.

Chacune a son parfum, unique qu’elle exhale,
Chacune a sa couleur, riche en teintes sans norme,
Chacune d’elles est unique, en son genre, en sa forme
Chacune d’elle a sa place, dans ce parc familial.

Chacune d’elles a un cœur, qu’elle ouvre pour donner
Cette étincelle d’or, cette divine étincelle,
La source de tout amour, vibrante de sa clarté,
Recevons la lumière, qui émane d’elle.

Avec amour,

                                         Brigitte

mercredi 29 octobre 2014

La Vie est le Chemin, la Vie est Vérité,

Au bord du petit lac, viens t’asseoir sur le banc,
Là, le soleil d’automne, joue dans les gouttes d’eau
De la fontaine qui chante, et fait des ronds dans l’eau.
Il  l’a vêtue d’argent, d’or et de diamants.

Te voilà devenue, en l’espace d’un instant,
Cette magnifique fée, habillée de cristaux,
Sur ce domaine régnant, ondine des roseaux,
Lors de ce déplacement, dans un autre espace-temps.

Là, tu y as trouvé, de beaux lutins farceurs,
Allongés sur les mousses, habitant le sous-bois.
Avec eux, tu as ri, retrouvant en ton cœur,
Ton enfant intérieur, digne de toute foi.

Le Petit Peuple est là, pour servir la nature,
Et son aide t’est précieuse, si tu veux l’inviter,
À partager ta vie, en conscience d’aimer,
Ces amis de toujours, qui sont de valeur sûre.

La magie de ces lieux, à toi, je veux dédier,
Dans ces tons magnifiques, d’orange, de rouge et d’or,
Pour que tout comme à moi, ils puissent te dévoiler,
Que tu possèdes tout, que rien n’est au-dehors.

Puisque tu es Chemin, laisse-toi cheminer,
Puisque que tu es la Vie, vis-la intensément,
Ta vie, tu te la crées, et c’est ta vérité,
Elle est cette partie, de la grande Vérité.

Alors, joue, chante et danse, et ris avec la Vie,
Car c’est dans l’Unité que tu peux exister,
Dans cette communion, tu as tout à gagner,
C’est l’Amour qui se donne, c’est l’Amour qui se vit.

Je t’aime,

                                                                                  Brigitte

lundi 29 septembre 2014

La forêt

Que viens-tu donc chercher, au cœur de la forêt,
Intrépide jeune homme, avançant sans arrêt,
Si ce n’est que toi-même, seul au milieu des bois,
Dans tout ce que tu vois, partout autour de toi.

« Je suis cette forêt, où tu aimes à marcher,
À chaque jour qui passe, et j’ai tant à t’apprendre,
Je sais, tu me connais, en classe m’as étudiée,
Mais toutes ces autres choses, veux-tu bien les comprendre?

Oh! Je ne parle pas de savoir dans ta tête,
Je parle de connaissance, quand ton mental s’arrête,
Je parle de vibrations, de ressentis profonds,
Au travers de tes sens, qui seuls te guideront.

Alors, ferme les yeux, écoute avec ton cœur,
Sens-tu combien je t’aime, ressens ce grand bonheur,
Qui gonfle ta poitrine, là, vois-tu, tu respires,
Mes milliers de senteurs, qui t’apportent un sourire.

Et là, n’entends-tu pas mon souffle familier,
Qui caresse ta peau? Vois, je suis ton allier,
En moi tu peux te perdre, et puis te retrouver,
Toi et moi ne font qu’un, vivons notre amitié!

Regarde ce bel arbre, et caresse son tronc,
Comme toi, il est fort, comme toi, il est grand,
Ressens ce grand frisson, qui parcourt tout en long,
Ton être tout entier, il te parle en dedans.

Vois, touche, sens et entends, ouvre bien grand tes sens,
Chaque plante, chaque fleur, chaque mousse, chaque essence,
Aime que tu la ressentes, découvre leur quintessence,
Elles s’offrent ainsi à toi, dans leur belle innocence.

Tout comme des animaux, des roches, fais en cas,
Et la source d’eau claire, grandissante, en cascades,
Quand tu les sentiras, lors de tes escapades,
Vibrer en tes cellules, lors tu  me connaitras.»

                                                                                      Brigitte

mardi 2 septembre 2014

Le Souffle de L’Éternel,

« Je suis le vent, le vent léger qui te caresse,
Je suis la brise, qui t’enveloppe de tendresse,
Par la puissance de mon souffle, je fais plier,
La cime des grands arbres, qui s’inclinent pour prier.

Je suis le vent, je suis la force, je suis la Vie,
Je suis l’air que tu sens, qui anime tes jours,
Je suis « Celui qui Es », et en toi pour toujours,
Au-delà du visible, et dans tout ce qui rit. »

« Moi, le Souffle Divin, lorsque Je rentre en toi,
Je M’infiltre et t’inspire, et en toi Me révèle,
Bien au-delà de l’air, souffle de l’Insondable,
Je suis dans le Silence, J’agis insoupçonnable.

Je sors alors de toi, au moment de l’expir,
Pour que tu puisses avec, le Tout Me partager,
Ce souffle qui te permet, de pouvoir respirer,
Sans même inspirer d’air, ce Souffle qu’on ne peut dire.»

Lui seul peut à chacun, car Il est le « JE SUIS »,
Redonner sa puissance, sa souveraineté,
C’est par Lui qu’en ce monde, un jour, nous sommes entrés,
Que par Lui, chaque jour, nous sortons de la nuit.

Provenant de la Source, il vient du Cœur Vibral,
D’où nous provenons tous, et où nous retournons,
Un jour, nous sommes nés, participant au bal,
Pour être sur cette Terre, Ses divines expressions.

Et je salue en toi, en toute humilité,
L’Être Divin qui vibre, l’Être en toi qui respire,
Dans l’ici-maintenant, l’Être en toi qui m’inspire,
Ce Grand Souffle Divin, rayonnant de beauté.

Je t’aime

                                                             Brigitte

jeudi 7 août 2014

Le renard et le petit prince,

Avez-vous vu passer, le renard argenté,
Brillant de mille feux, dans le matin joyeux?
Avez-vous entendu, son pas sûr et léger,
Effleurer la prairie, d’un air mystérieux?

Il cherche le petit prince, pour parler avec lui,
Ce petit prince aimé, qu’il porte au fond de lui,
Les cheveux  dans le vent, respirant le bonheur,
Déversant sur sa fleur, tout l’amour de son cœur.

Un rayon de soleil, a caressé la rose,
Que de sa pureté, l’enfant a arrosée.
En regardant le prince devant sa fleur éclose,
Le renard attendri, une larme a versée.

Et ils ont échangé, sur les choses de la vie,
Le renard doucement, lui a alors permis,
Avec les yeux du cœur, de regarder le monde,
Découvrir l’Essentiel, qui vibre comme une onde.

L’enfant s’est approché, de sa fleur préférée,
Tout en la remerciant, sa tige, il a coupée,
Et à son bel ami, il l’a alors offerte,
Avec la gratitude qu’il ne pouvait plus taire.

Aujourd’hui c’est à toi, que la rose je dédis,
Et tout comme l’enfant, d’amour je l’ai couverte,
Et je l’offre au renard, qui sait tant de la Vie,
Et au maître en toi, riche de découvertes.

Merci à toi beau Prince, beau Renard argenté,
Car ta beauté, vois-tu, je peux la reconnaître,
Elle rayonne en dedans, rayonne de tous côtés.
Avec les yeux du cœur, je ressens tout ton Être.


Je t’aime

                                                                          Brigitte

samedi 21 juin 2014

Nuit de lune, nuit de fortune,

Ce soir pour toi la nuit a mis sa robe brune,
Parsemée de milliers d’étoiles scintillantes,
Et tout là-haut éclaire, tout comme un phare, la Lune,
Déesse de la nuit, lumière opalescente.

À toi, sur qui elle veille, son soleil sur la Terre,
Elle t’offre sa rondeur, sa bienveillance de mère,
Tout comme elle, tu éclaires, la Terre et ses enfants,
Toi, de rayons dorés, elle, de fils d’argent.

Si tu brilles en ces lieux, si tu luis en ces temps,
C’est pour te retrouver, apporter ta radiance,
La touche que tu portes, depuis ta tendre enfance,
Est essentielle, unique, à notre monde évoluant.

Toi, humain de la Terre, cherchant la complétude,
Depuis la nuit des temps, partout tu vas, tu erres,
Et ce soir sous la lune, sens-tu la plénitude,
Dans ton Être unifié, la paix enfin se faire?

Si ton corps est celui, d’un homme sur cette planète.
N’a ni forme ni sexe, ton Être de tout temps,
Androgyne tu es, rappelle-t-en souvent,
Et sois heureux enfin, de cette brillante conquête.

Tu te réappropries, ton féminin sacré,
À travers la douceur, l’accueil et la tendresse,
C’est la Vie qui te crée, avec toutes ses richesses,
C’est dans l’Union Divine, que la Vie se recrée.

La Lumière bien aimée, guide ton pas, te mène,
Vers la riche splendeur, des amants retrouvés,
Réunifiant en toi, le Roi et puis la Reine,
Le secret des noces mystiques, se voit dévoilé!

Chante, la Vie, l’Amour, la gloire de l’Éternel,
Car la Terre, elle aussi, redevenue Nouvelle,
Retrouve son bien-aimé, retrouve le Soleil,
En te réunifiant, tu l’as réunifiée.

Réalisant ainsi, en cette nuit de lune,
Le Tout dans l’Unité, l’Unité dans le Tout,
Tu vois alors vraiment, la Vérité partout,
Dans ton regard d’enfant, qui t’apporte la fortune.

Je t’aime,
Brigitte

mercredi 21 mai 2014

En ce jour de Wesak,

Belle Dame, ma sœur, aujourd’hui tu es reine,
Tu avances à grands pas, pour être souveraine,
De ta vie, maintenant, et pour l’Éternité,
À travers le chemin, que toi seule t’es donné.

Si tu le trouves parfois, abrupte et difficile,
Seule, ton âme sait, le rendre plus docile,
Tu as en toi cette force, pour passer à travers,
Ces obstacles illusoires, ne sont que des chimères!

Soutenue et aimer par ton Être suprême,
Ta famille de Lumière, d’ailleurs, ou d’ici-même,
Tu sais qu’une pensée, aussi petite soit-elle,
Tournée vers ta Puissance, t’apporte une paire d’ailes.

Ta connexion divine avec l’Être Solaire,
Lumineux et complet, et toujours solidaire,
Qui n’est autre que toi, en d’autres dimensions,
T’amène à embrasser, avec foi, ta mission.

En ce jour du Wesak, où la Terre toute entière,
Est aimée, adombrée, par de Grandes Énergies,
Celle du Christ-Roi, celle du Bouddha aussi,
Est, je le sais pour toi, une offrande singulière.

Dans mon cœur qui s’unit au tien, pour ce présent,
Il y a un amour, qui vibre à l’unisson,
 En ce moment suprême, de divines connexions,
Que ma joie, soit ta joie, de Christ en toi vivant.

Je t’aime,

                                                     Brigitte

jeudi 17 avril 2014

Alléluia!!! Christ est ressuscité en moi!

Alléluia, je L’ai trouvé, enfin trouvé,
Celui que je cherchais, sans y être arrivée,
Après de grands détours, tout au long de ma route,
Un jour je l’ai reçu sur mon chemin de doute.

J’ai tant et tant cherché, le Christ à l’extérieur,
Et Il m’a répondu, en bon et beau farceur:
« Je suis au fond de toi, dans ton Être Intérieur,
Ouvre donc un peu les yeux, ne regarde pas ailleurs. »

Je lui ai demandé, alors de Se montrer,
Il est parti à rire, à rire à en pleurer,
Et Il m’a dit tout bas, ces mots de vérité :
« Vas chercher un miroir, tu verras Ma beauté.»

Vers le miroir, je me suis donc précipitée,
Ce que j’ai vu alors, dans un halo doré,
M’a fortement surprise, hautement impressionnée,
C’était un beau visage, lumineux de bonté.

Se pourrait-il que Christ, m’aurait ainsi donné,
Son Amour, Sa Lumière, Sa Grâce, Sa beauté,
Que toutes mes cellules, se soient mises à vibrer,
Reconnaissant leur Maître, en Lui L’ayant trouvé?

L’ayant enfin trouvé, et prête à L’écouter,
A écouter Sa voix, en toute simplicité,
Qui façonne les mots, pour en faire des amis,
Ces mots pour éveiller, mes cellules endormies.

« Ne cherche plus, Je suis en toute création,
Dans l’autre que tu croises, en plein cœur de l’action,
Qu’il soit prince ou mendiant, en son cœur il possède,
L’Étincelle Divine, comme unique remède. »

« L’Étincelle Divine, lorsqu’Elle est reconnue,
Apporte la Lumière, pour que l’ombre soit vue,
Pour que l’ombre s’efface, et laisse alors la place,
À celui qui n’a plus, à porter tous ces masques. »

« Toujours, toujours Je suis, dans ce sourire radieux,
Qu’on te donne, que tu donnes, un instant merveilleux,
Dans le chant de l’oiseau, dans ton écoute aimante,
Dans la rose épanouie, à l’odeur enivrante. »

« Écoute bien Ma Voix, c’est Ta petite voix,
Qui te guide, qui te mène, et te met sur la voie,
Te mène à la fontaine, pour ton cœur purifier,
La fontaine de cristal, pour te réunifier. »

« Pour te régénérer, La fontaine de jouvence,
Est là au fond de toi, en plein cœur du silence,
Là,  pour entendre Ma Voix, Ma Voix qui te ramène,
À toi et à toi-même, au cœur de toi, te mène. »

« Cet amour que tu portes à toute la Création,
C’est Mon Amour en toi, cette précieuse vibration,
Qui te porte, te soulève, comme une vague de fond,
Chamboulant tout ton être, transcendant ta vision. »

Alléluia!!! Christ est ressuscité en moi!

                                                                      Brigitte

mardi 1 avril 2014

Balade au coeur de l'Un

Ce soir, les grillons chantent, et l’air est doux et calme,
Et le ruisseau murmure, son hymne à la nature,
Et voilà qu’à nouveau, dansent et dansent les mots,
Venant s’offrir ainsi, en douce mélodie.

Venant s’offrir à toi, l’espace d’un instant,
Au-delà de l’espace et au-delà du temps,
Alors fermant les yeux, pour ne plus faire qu’un,
En cet instant précieux, j’ai plongé dans les tiens.

C’est dans leur profondeur, que ton âme, j’ai trouvée,
Ton jardin intérieur, tu me l’as dévoilé,
Bien au-delà des mots, bien au-delà du dire,
Simplement, doucement, j’ai pu le ressentir.

Et dans ce lac profond, unique et transparence,
De ton être le tréfonds, musique de ton essence,
J’ai trouvé la beauté d’un jardin enchanteur,
Aux éclats sans pareil, de mille et une fleurs.

Fleur de subtilité, fleur de grâce, de noblesse,
Fleur de sensualité, de douceur, de tendresse,
Fleur d’amour, d’harmonie et fleur de compassion,
Embaument ce paradis, cet endroit de mission.

Au cœur de l’Unité, de son immensité,
J’ai caressé ton âme, ses bleus, j’ai effleurés
J’ai essuyé ses larmes, pour la joie t’apporter,
J’ai ri avec ton âme, j’ai joui de sa beauté.

La Lumière de sa splendeur, éclaire ton chemin,
Tel un phare puissant, balayant ton destin,
Guidant ton pas  fragile, lorsqu’il est chancelant,
Lorsqu’il est assuré, de sa force l’appuyant.

Cette vie t’a fait vivre, tant et tant d’expériences,
Te reliant, chaque fois, bien plus, à ton essence,
Ton âme les a choisis, pour son évolution,
Pour qu’elle puisse faire, au fil du temps, son ascension.

À toi, qui irradies cette éternelle jeunesse,
À toi, je décerne, tes lettres de noblesse,
Tu joues dans l’élégance, tu joues avec finesse,
À toi, je dis « je t’aime », avec tant d’allégresse,

Merci, d’être entré, un jour, dans ma vie,
Merci d’être venu nous retrouver ainsi,
Pour jouer avec nous, le théâtre de nos vies,
Ce grand roman d’amour de nos âmes réunies.

Je t’aime et
J’apprécie ta présence, ta lumière, ta beauté.

                                                             
  Brigitte

vendredi 21 mars 2014

J’ai entendu le printemps chanter,

Ce matin, j’ai entendu, le printemps chanter,
À travers un oiseau sur un arbre perché,
Et puis, j’ai entendu le printemps murmurer,
À travers le ruisseau qui s’est mis à couler,

Et ce matin, j’ai vu  le printemps exploser,
À travers les bourgeons aux grands arbres accrochés,
Et j’ai senti le sang bouillonner dans mes veines,
Comme la sève neuve, dans les branches d’ébène.

Il m’est alors venu, une envie de danser,
La valse du printemps, la valse enchantée,
Et j’ai alors senti, un frisson de bonheur,
Un éclair fulgurant a traversé mon cœur.

Les  rayons du soleil ont caressé ma peau,
Je me suis sentie naître, comme le printemps nouveau,
Mes yeux ont découvert, toutes ces fleurs nouvelles,
Et j’ai senti la joie, chanter sa ritournelle.

Oui, j’ai vu le printemps, s’habiller de vert tendre,
Se vêtir de lumière, sa voix s’est fait entendre,
Il m’a transmis la joie, de tout  son renouveau,
Et c’est de vie nouvelle, qu’il m’a fait le cadeau.

J’ai senti dans mes veines, le sang neuf bouillonner,
Propulser par un cœur, vibrant de nouveauté,
Un cœur tout élargi, un cœur pouvant aimer,
Comme jamais il n’a su, auparavant aimer.

Mon corps s’est allégé, de ses bleus du passé,
De ses anciens habits, de ses codes dépassés,
Le voilà tout heureux, sautillant de gaieté,
De cette joie enfantine, qui fait sa légèreté.

Terminé les longs jours, d’un hiver de glaçons,
Et qui givrait mon cœur, de mémoires sans façon,
Maintenant c’est peau neuve, que je fais sans pitié,
Sans égard au passé, je suis un nouveau-né.

De chenille me voilà, devenue papillon,
Et défroissant mes ailes, je sors de mon cocon,
Pour aller butiner, sur les fleurs printanières,
Et pouvoir m’envoler, là-bas vers d’autres sphères.

Les cellules de mon corps se sont régénérées,
La lumière y circule, son cristal fait vibrer,
Tout comme un violon, venant d’être accordé,
Prêt à jouer ses airs, divinement inspirés.

                                                                                               Brigitte

lundi 3 mars 2014

Le Soleil m’a dit,

Alors que dans le ciel, s’élève dans le matin,
Le soleil amorçant, dessus les grands sapins,
Son parcours journalier, fidèle comme toujours,
Je sens monter en moi, son énergie d’amour.
   
Sa sublime lumière, se déverse en mon cœur,
Ses rayons de velours, m’enveloppent de bonheur,
Et c’est tout au travers, des grandes baies vitrées,
Que mon esprit joyeux, s’en va le rencontrer.

« Oui, c’est moi, Le Grand Râ, et je suis ton Soleil,
Celui qui t’illumine, qui réchauffe ton être,
Qui enflamme ton cœur, pour que je m’émerveille,
De tous les grands services que tu donnes à tes frères. »

« Aspire chaque jour, en toi, mes rayons d’or,
Pour qu’ils te régénèrent, revivifient tes corps,
Sens-les bien pénétrer, pour que la guérison,
Se fasse en tes cellules, par la joie, par le son. »

« Ce son qui fait vibrer tout comme un diapason,
Chaque fibre de ton être, en un sourire heureux,
Harmonise tes corps, en baisers malicieux,
Et chante à l’unisson, avec la création. »

C’est ce qu’a aujourd’hui, à te dire le soleil,
C’est un message d’amour, pour toi, pour qu’il éveille,
Ta faculté d‘unir, de ne voir  désormais,
Qu’avec tes yeux du cœur, maintenant ré-ouverts.

Je t’aime,

                                                                                                    Brigitte

mercredi 12 février 2014

Poésie pour la St Valentin…Amour…Amour, toujours…

L’Amour c’est le chant de l’oiseau, qui s’égosille dans le matin,
Et c’est le murmure du ruisseau, que tu entends dans le lointain,
C’est la vie qui palpite en toi, et toute cette joie que tu ressens,
C’est le mouvement de la vague, qui déferle en toi, en tout temps.

L’Amour, c’est un bouquet de roses, au parfum si suave et léger,
Dont le doux velours de leurs robes, de plaisir te fait frissonner,
C’est quand leur parfum si subtil, te remplit, t’étourdit, se mêle,
À chaque cellule de ton corps, à chaque fibre de ton être.

L’Amour, c’est comme un champ de blé, immense, doré et ondulant,
Ce sont tes deux bras qui enlacent, et qui accueillent tout en berçant,
Ce sont ces étoiles dans tes yeux, qui donnent ce regard amoureux,
Et c’est ton sourire, c’est ta bouche, qui sait dire des mots merveilleux.

L’Amour, c’est beau, c’est doux, c’est tendre, c’est chaud comme le soleil d’été,
C’est doux comme la soie de ta peau, dont ton corps s’est enveloppé,
Et c’est beau comme un paysage, que tu découvres lors de voyages,
C’est tendre tout comme l’enfant, qui vient de naître, en nouveau sage.

L’Amour ne peut pas se comprendre, l’Amour peut simplement se vivre,
Et l’Amour ne peut pas se prendre, l’Amour n’est qu’une route à suivre,
Il se trouve au fond de ton cœur, prêt à s’amplifier, se donner,
L’Amour est Lumière et Conscience, et Transparence et Vérité.

L’Amour c’est l’expansion du cœur, l’énergie du feu allumé,
C’est l’expansion de la Conscience, la Conscience de l’Unité,
L’Amour c’est toi et puis c’est l’autre, que tu acceptes dans son entier,
Que tu acceptes dans son âme, et dans toute son unicité.

C’est comme une communion d’âmes, une vibration qui remplit,
Une Union avec le Divin, dont toute chose fait partie,
Il est partout sur ton chemin, si tes yeux tu sais les ouvrir,
Et si tu sais tendre la main, ton cœur saura Le ressentir.

Pourquoi vouloir chercher l’Amour, puisqu’il est là, au fond de toi,
Il  a toujours trouvé sa place, en t’ouvrant, tu lui as fait foi,
Amuse-toi à le perpétuer, à travers l’échange et le don,
Puisque c’est tout ce que tu crées, à partir de Sa vibration.

L’Amour est au-delà du temps, l’Amour est par delà l’espace,
Et l’Amour naît de la fusion, d’un regard, d’un son qui embrasse,
Dans la fusion de celui qui, regarde et qui est regardé,
L’Amour c’est un éclat de rire, dont la magie sait opérer.

L’Amour est enfant de partage, et puis l’Amour est liberté,
 Tu le reçois en héritage, tu ne peux pas l’emprisonner,
Et l’Amour n’a pas de mesure, il ne peut être quantifié,
L’Amour est entier, Il est pur, Il ne peut être entaché,

L’Amour c’est un élan des cœurs, c’est nous, quand nous sommes réunis,
Et c’est grand comme un Océan, d’Univers, de Mondes et de Vies,
L’Amour, c’est Nous, dans Notre Essence, Nous, l’Amour au-delà des sens,
Un abandon total à ce qui est, ce moment pur qui nous encense.

L’Amour c’est le regard, que porte le Créateur sur Sa Création.

Je vous aime


                                                                                                             Brigitte

samedi 1 février 2014

Le fil d’Ariane,

Il est un fil d’Ariane, qui  remonte le temps,
Dans le grand labyrinthe de nos vies en mouvements,
Ouvrant sur tant et tant de salles inconnues,
Détenant des trésors jusqu’alors méconnus.

C’est ce fil qui te mène, c’est celui que tu tiens,
Qui te fait revenir, à ta Lumière soudain,
Te remettant toujours, dans la bonne direction.
C’est ta sécurité, ton filet de protection.

Aux tréfonds de nos Êtres, la vie sait nous conduire,
Aveugles bien souvent, alors, nous ne voyons,
Le chemin le plus court, qui reste à parcourir,
Et bien que plus facile, voilà que nous le nions.

Et ta vie se déroule… Un seul fil te conduit.
De fausses routes il n’y a, de tes incarnations,
Juste un chemin plus long, aux détours de ta nuit,
Qui de toute façon, te mène à la maison.

Et ce fil qui se mêle et puis qui se démêle,
Pour que tu apprécies chaque pas, chaque coup d’aile,
Te mène assurément, tout au bout du tunnel,
Pour retrouver enfin, ta Demeure Éternelle.P

Là, la Lumière est Paix; Là, la Lumière est Joie,
Elle est Amour toujours, Elle n’est que vibration,
Et Elle est harmonie, Elle est au fond de toi,
Elle est cette Mer immense, dans laquelle nous baignons.

C’est du centre de ton Être, que tout part, tout commence,
En ce point d’Unité, débute alors la danse,
Valse de tes créations, la danse de la Vie,
Cette Vie à aimer, cette Vie qui nous unit.

Au centre de ton Être, tout revient sans hasard,
Le fil étant un point, un point tout au départ,
Le fil à l’arrivée, ce point aussi étant,
Alors ne font plus qu’un, fin et commencement.

Je t’aime,

                                                                                              Brigitte