vendredi 17 décembre 2010

Sur son violon elle joue, la valse du bonheur,

Sur son violon elle joue, la valse du bonheur,
De sa voix de cristal, elle chante avec ferveur,
Elle compose des airs, qui riment avec douceur,
Qui riment avec la joie, qu’elle porte au fond du cœur.

Sa vie est de recherches de nouveaux horizons,
De moyens de soigner, d’aider sans condition,
Et toujours à l’affût, de nouvelles méthodes,
Afin que le mieux être, pour chacun soit le code.

Les formations qu’elle suit, sont pour fin de partage,
Elle en prend le meilleur, qu’elle sculpte à son image,
Comme le ferait en art, un maître du modelage,
Afin de l’enseigner, en fait le décodage.

Brillante, déterminée, elle se sert de ses dons,
Et de ses aptitudes, induit la guérison,
Et le son qui guérit, saura trouver le ton,
Les couleurs de sa voie, alors resplendiront.

Assoiffée de savoir, prompte et efficace,
L’enseignement qu’elle donne, se fait en face à face,
En chaque jeune, elle sait, reconnaitre en lui,
L’Être qui brille comme, une étoile dans la nuit.

Elle leur sert de jalon, à ces adolescents,
Elle est le phare qui luit, au port les ramenant,
Elle leur redonne foi, en eux, en leurs talents,
Sur leurs chemins qui semblent, être de sables mouvants.

Ton âme généreuse, tu la tiens de Ton Père,
Tu tires ton énergie, de la Divine Mère,
De ces femmes de Terre, de ces femmes de cœur,
De celles qui autour d’elles, distribuent le bonheur.

Toi qui tisses ta toile, au gré des évènements,
Ta toile de lumière, et puis d’or et d’argent,
Des perles de rosée, tu y as déposées,
Reflets de ta beauté, dans le matin doré.

Belle femme tu es, dans ta robe de lumière,
Que je peux percevoir, encore bien plus qu’hier,
Belle femme tu es, dans ton manteau drapée,
Aux mille et une étoiles, venues s’y accrocher.

Ces étoiles sont celles que tu as allumées,
Pour chaque acte posé, qui t’a fait t’élever,
Toutes ces parties de toi que tu as dévoilées,
Que tu as accueillies, que tu as su aimer.

Toi, ma sœur, mon amie dont je peux être fière,
Nous avons toutes deux, parfois les mêmes prières,
Mon cœur d’amour, pour toi, de gratitude, déborde,
Comme celui d’une mère, quand son enfant, elle borde.

Tu sais si sûrement, me montrer le chemin,
Quand de mon beau miroir, tu es le parchemin,

Sur lequel j’ai écrit à l’encre de couleur,
« J’ose, je m’affirme, avec passion, avec ardeur.»

Sur ton violon, tu joues, la valse du bonheur,
De ta voix de cristal, tu chantes avec ferveur,
Et je te remercie, de toute ton attention,
De t’avoir dans ma vie, comme source d’inspiration.

Je t’aime
Brigitte