mercredi 8 décembre 2010

De tous les feux de l’arc en ciel, elle brille.

Quand l’arc-en-ciel se fait, intense et lumineux,
Le ciel semble étrangement, se diviser en deux,
Je pense alors à toi, toi ce soleil radieux,
Irisant chaque goutte, de rayons malicieux.

La lumière éclaire l’ombre, aux portes de la nuit,
Qui à pas de velours, tout doucement s’enfouit,
Ta grandeur intérieure est telle cette étincelle,
Cette étoile qui sourit, divine et éternelle.

Tu es cet arc-en ciel, qui surgit de la nuit,
Cette voûte fluorescente, qui arrive sans bruit,
Distribuant sans compter, les spectres de son arc
Déversant ses couleurs, tout comme un grand monarque.

Toi, ma sœur, mon amie, compagne de beaux jours,
Il me semble te connaître, t’aimer depuis toujours,
Tu colores ma vie de tes multiples touches,
Comme pour tes tableaux, dont on ne sait la souche.

Généreuses en couleurs, intense et pétillante,
Tu as sauvegardé, ton cœur d’adolescente,
Ta spontanéité, ta fraicheur printanière,
Et ton âme d’enfant, à sa candeur première.

Entre pluie et soleil, selon l’odeur de l’air,
Du rire aux larmes, tu passes en un éclair.
Tu es comme la mer et ses grandes marées,
Dont les vagues déferlent sur la plage désertée.

Tu es l’ondine des ruisseaux, des rivières, des torrents,
La sirène des mers, aux chants si envoûtants,
Tu es la mer dans toute son immensité,
Car c’est de l’Énergie Mariale que tu es née.

Ton visage possède la beauté des ces filles,
Comme celles  que l’on trouve, du côté de Manille,
Ta peau a la couleur des femmes de là-bas,
Des femmes de ces îles, et qu’ici on n’a pas.

Fleur de lotus aussi, j’aurais pu te nommer,
Tu séduis par ton charme, tu respires la santé,
Tu illumines ceux, qui sont à tes côté,
Ta nature pétillante, irradie sans compter.

Tu es l’écume des mers, dans ta féminité,
Dont les dentelles sont, de satin toutes tissées,
Tellement caressante en mère et protectrice,
Tellement femme aussi, et amante épanouie.
    Théâtrale à tes heures, ma sorcière bien aimée,
Tu sais de chaudes couleurs, savamment te parer,
Des décors de rêves, tu sais nous concocter,
Et des plats délicieux, restant à savourer.

Cette générosité, tu la portes en toi,
La gratitude fait aussi partie de toi,
Et l’amour que tu mets, dans tout ce que tu donnes,
Font de toi cette sublime et magnifique personne.

Et, toujours à l’écoute de ta petite voix,
C’est elle qui te met, toujours sur la bonne voie,
C’est elle que tu suis, celle qui guide tes pas,
À qui tu donnes raison, t’évitant les faux-pas.

Colorée dans  ta vie et dans ton verbe aussi,
Tu joues de tes talents, tu ris avec la vie,
Tu apportes la joie et la légèreté,
Car tu sais redonner ta créativité.

Espiègle et malicieuse, et fabuleux cadeau,
Tu es la magicienne qui sort de son chapeau,
Ses trésors merveilleux, ses dons de guérison,
Tu es un être profond, rempli de compassion.

Tout comme l’arc-en-ciel, tu es le lien sur terre,
Le lien entre Gaia, et LA Divine Mère,
Qui de la création, unit les éléments,
Qui de son pont, la Terre et le Ciel, reli-ant.

Cette amie qu’on recherche et qu’on veut honorer,
C’est toi, ma toute Belle, ma déesse adorée,
Toi, du feu d’artifice,  le bouquet final,
Qui me laisse les yeux, d’un brillant peu banal.

Je te serre maintenant, très, très fort sur mon cœur,
En un immense et tendre sentiment de bonheur,
Et je te dis Merci, d’être là dans ma vie,
D’être ce que tu Es, vibrante de magie.

Je t’aime, …à l’infini…

Brigitte