samedi 31 décembre 2011

POÉSIE POUR L’AN NEUF,

Voilà qu’à pas de velours, la nouvelle année,
Chaussée de ses trois cents soixante et six souliers,
Arrive et vient  frapper, à ta porte d’entrée,
Pour t’offrir les cadeaux, qu’elle t’a réservés.

Les souliers de Janvier sont de blanc habillés,
Et leurs présents foisonnent de ce que tu as semé,
De ce que tu as planté à la saison d’été,
Voici venu le temps pour toi de récolter.

Et ceux de février, t’offrent des pages blanches,
Ces pages que tu as, écrites en lettres franches,
À la lumière des jours, elles se révèleront,
Sources d’inspiration, de manifestations.

De mars les souliers, subtilement se remplissent,
De ces frémissements, de prémisses que tu sens,
T’annonçant l’arrivée prochaine du printemps,
Et de son explosion, préparée de long temps.

Avril voit ses souliers, se remplir de sève,
Cette sève qui nourrit et fait vivre tes rêves,
De cette sève qui circule et qui donne la vie,
Et prépare en tes veines, ce sang neuf qui jaillit.

Et Mai les voit alors, regorger de bourgeons,
Qui se préparent pour, faire leurs floraisons,
Afin que la  beauté de ce mois se dévoile,
Celle que tu as semée, qui te vient des étoiles.

Et les souliers de Juin, fleurissent de bonheur,
Celui du renouveau, tu lui ouvres ton cœur,
Les jeunes poussent lèvent, celles que tu as chéries,
La magie du printemps, est celle de ta vie.

Juillet a des souliers, luisant de mille feux,
De ses souliers vernis, valsant aux jours heureux,
Recevant par milliers ses roses, en brassées,
Aux parfums du chemin que tu as sillonné.

Et le mois d’Août les voit, dans ses douceurs d’été,
De ta magnificence étalant ta beauté,
Et le soleil plus chaud, rayonne de bonheur,
Et tu chantes ta joie de sentir sa chaleur.

Septembre  les rempliras encore plus d’allégresse,
Ces cornes d’abondance, qui te mettent en liesse,
Et qui font de ce mois, un mois plein de promesses,
Ouvrant ainsi la voie aux fruits de la tendresse.

De fruits vermeils regorgent, les souliers d’Octobre,
Ces fruits mûris en toi, tous au longs de ces mois,
Ces mois et ces années, passés à te connaître,
Et puis te reconnaître, pour que tu puisses renaître.

En Novembre tes souliers, se mettent à chanter,
Sur tes introspections, à chanter et danser,
Et ce sont de multiples voix qui les remplissent,
Et qui fêtent ta gloire, et qui te définissent.

En Décembre, tu bénis cette année écoulée,
De gratitude sont pleins, à craquer tes souliers,
Car de nombreux présents, elle a su t’apporter,
Ces multiples moments, de générosité.

Cette année n’est vraiment, que ce que tu en fais,
Sensible aux résonances que tu sais faire vibrer,
Semblables aux sons d’amour de ton cœur, ta Présence,
Lumineuse et vibrante, de ton Être l’essence.


                                                 Brigitte

samedi 24 décembre 2011

Il est né le Divin Enfant,

Il est né le Divin Enfant,
Chantons tous, Son avènement!
Il est né, Celui qui en toi,
Attendait pour devenir Roi.

Il  est né  dans toute Sa splendeur,
Il est né dans toute Sa grandeur,
Il est né, l’Enfant adoré,
Pour t’apporter la joie d’aimer.

Il est né pour t’apprendre à jouer,
À voir la vie du bon côté,
Et pour t’apprendre à t’étonner,
T’apporter son innocence innée.

L’enfant Soleil, l’enfant Étoile,
Qui se tenait derrière le voile,
Venu te présenter sa toile,
Son Unicité se dévoile.

Et s’Il vient tout juste de naître,
Comment ne pas Le reconnaître?
À Lui, tu te relies souvent,
Lui, l’Amour grand comme l’océan.

Il te fait renaître à toi-même,
À ton essence, pour que tu aimes,
Que tu te tournes vers l’essentiel,
Ton essence venue du ciel.

Il fait de ta vie, ton projet sens,
Un projet dont tu connais l’essence,
Tu reconnais ton droit de naissance,
Tu bénis votre re-co-naissance.

Il était là, en gestation,
Bien lové dans Son blanc cocon,
Faisant que tu Le reconnaisses,
Pour qu’un jour, enfin tu renaisses.

Et voilà, qu’en ces temps de fêtes,
La connexion s’est enfin faite,
En ce jour de nativité,
Fêtons l’Enfant-Roi qui est né.

Et je salue en toi la Mère,
Toi, qui l’as porté en ton sein,
Et je salue en toi le Père,
Qui a crée cet enfant Un.

De l’Esprit du Père, conçu,
De la trame de la Mère, issu,
En toi, il y a fait Sa place,
Pour que la Trinité se fasse.

Votre  Divine Reconnexion,
Se réalise dans la fusion,
Votre Reconnexion Cosmique,
Explose dans son jardin ludique.

Noël, c’est la Paix dans ton cœur,
La Joie de vivre ce grand bonheur,
Noël, c’est l’Amour dans ta vie,
L’Union qu’il crée, par sa magie.

Il est né, le Divin Enfant,
En chacun de nous, en ce jour,
Il est né le Divin Enfant,
Chantons tous son avènement!

                                Brigitte

lundi 12 décembre 2011

Une perle rare,

J’ai une amie précieuse que je veux honorer,
Une perle lumineuse, et dont j’aime à parler,
Elle est chère à mon cœur, où je l’y ai placée,
Elle fait partie des fleurs, de mon jardin secret.

Dans son cœur il y a, un soleil qui réchauffe,
Comme un brasier ardent, qui jamais ne s’éteint,
Les petits comme les grands, dès qu’elle les étreint,
Ressentent cet amour, qui leur fait tant de bien.

Il y a dans ses mains, deux cristaux qui rayonnent,
Et ce sont deux lasers, où l’énergie foisonne,
L’énergie de l’Amour, celle de la Lumière,
Apportant guérison, à la planète entière.

Dessous ses pieds, deux autres, la relie à la Terre,
À cette Mère qui lui donne, tout son corps pour s’ancrer,
Celle qui la nourrit, de sa force légendaire,
Celle qui la chérit, elle son enfant aimé.

Au-dessus de sa tête, un autre, beaucoup plus grand,
Disperse la Lumière, comme une couronne, radiant,
La Source le remplit, de cette puissance divine,
Dont elle boit le nectar, depuis son origine.

En souveraine, elle règne, sur son monde, enseignant,
Distribuant ses bienfaits, à tout vent, tout venant,
La Grâce l’a touchée, dans son âme d’enfant,
Est empreint de fraicheur, tout le service qu’elle rend.

J’aime à la regarder, dans son aura-lumière,
Qui vibre et qui irise les champs environnants,
Près d’elle, je me sens bien, elle m’est si familière,
Car certainement nos âmes, se sont connues avant.

Et ce cristal qu’elle est, ce joyau éclatant,
Avec toutes ses facettes, nos miroirs en dedans,
Prenons-en très grand soin, il est si important,
Célébrons sa présence, comme un cadeau vivant.

Et c’est le cœur vibrant, d’une profonde gratitude,
Pour ta présence aimée, dans ma vie de fortune,
Je te donne par ces mots, ce que j’ai de plus beau,
Un amour qui se sert, sur d’argent un plateau.

Je t’aime,

                                                            Brigitte

mercredi 30 novembre 2011

Ainsi soit-il,

Ô combien elle pouvait, aller loin l’aventure,
Elle semblait prometteuse, d’un complaisant futur,
Dont les merveilleux fruits, seraient bientôt cueillis,
Et toi, tu en rêvais, le jour comme la nuit.

La mer avait en elle, tout pour vous enrichir,
De ses nombreux atouts, nutriments des plus purs,
Et la mer vous a pris, comme amis pour se dire,
Vous avez pris la mer, partenaire des plus sûres.

La vie n’a pas voulu, que la vague se fasse douce,
Elle a choisi pour toi, un chemin différent,
Que celui de voguer sur la mer qui te pousse,
La houle de ses flots, tu l’affrontes en ramant.

À travers chaque goutte, que t’offre l’océan,
Qui te porte plus près, de ton cristal vibrant,
L’Océan de la vie, te remet au défit,
D’aimer et d’accueillir, l’expérience de ta vie.

Même si elle t’a conduit, derrière des murs arides,
Comme tout Être en chemin, tu as vu le bon grain,
En laissant derrière toi, l’ivraie ô combien vide,
En regardant tout droit, tu ne vacillais point.

Ces jours passés à l’ombre, pour que la lumière soit,
T’ont fait grandir encore, te retrouver chez toi,
Et éclairer ces lieux, comme un phare dans la nuit,
Où la loi du plus fort, se détourne et s’enfuit.

Aimer sans condition, quand l’expérience est rude,
Se relever encore, trouver la gratitude,
Au plus profond du Soi, l’étincelle de Lumière,
Grandit et puis rayonne, et le voile disparaît.

Merci à toi, Grande Âme, d’être aller explorer,
L’ombre derrière les barreaux, pour la démystifier,
Et tu as fait pour nous, ton travail d’éclaireur,
Pendant que se libèrent, nos prisons intérieures.

Et puis, bien souvent là, où on ne s’y attend point,
Il y a une rose qui exhale son parfum,
Une rose qui s’offre, un cadeau à cueillir,
Un présent bien précieux, pour notre devenir.

Je t’aime,
                       Brigitte

vendredi 18 novembre 2011

J’ai un moment unique à partager,

Alors que le soleil amorce sa montée,
Tout là haut dans le ciel, là, dans l’immensité,
Je pense alors à toi, en ce jour de clarté,
Ce jour qui t’a vu naître, il y a plusieurs années.

Je pense à toi, qui a cette sensibilité,
Celle qu’on les artistes, pour aimer la beauté,
Et qui la distribuent, pour faire vibrer une onde,
Une grande onde d’amour, pour en remplir le monde.

Pour l’amour de la Terre, le respect, tu lui portes,
Et pour les êtres humains, de même tu te comportes,
Apportant la douceur, et les soins naturels,
À ta petite famille, ton âme-sœur, ta jumelle.

De ces deux  beaux bijoux, tu as su te parer,
D’une femme si douce, d’une femme si tendre,
C’est elle qui t’a donné, un beau jour de décembre,
Le cadeau merveilleux, d’une fille adorée.

Au travers les tourmentes, regarde un peu plus loin,
Vois le soleil qui brille, au détour du chemin,
Alors allonge encore, un peu plus grand ton pas,
Car c’est lui qui te porte, vois, on t’ouvre les bras.

Le Créateur est là, et toujours Il te garde,
Au plus près de Son Cœur, Son Cœur impénétrable,
Et Sa Source d’Amour, toute inconditionnelle,
Te remplit chaque instant, de la Vie éternelle.

En ce moment unique, qu’avec toi je partage,
Par delà l’Océan, à travers cette page,
Que mon Être pour toi, rédige le cœur chantant,
Et qu’il t’offre en ce jour d’automne éblouissant.

Bien au-delà des mots, il y a une vibration,
Qui résonne, s’amplifie, bien au-delà des monts,
Que seul ton cœur aimant, reconnaitra toujours,
Ces mots qui sont pour moi, des messagers d’amour.

Je t’aime,

                               Brigitte

mardi 25 octobre 2011

Petite abeille, Fleur de soleil,

Sur la fleur de soleil, une abeille s’est posée,
Et là, tout doucement, le nectar, elle aspire,
Elle est là et elle puise, ce liquide sucré,
Encore et puis encore, puis s’arrête et respire.

Et tout comme l’abeille, porteuse de jouvence,
Toi aussi, pour ta ruche, tu t’en vas butiner,
Et tu reviens toujours, plus riche d’expériences,
Que la vie chaque jour, te propose de tester.

Chaque fleur a sa saveur, et chaque fleur est unique,
Et l’abeille le sait, et l’abeille l’apprécie,
Et tes moments de vie sont eux aussi uniques,
Alors petite abeille, savoure et remercie.

Car la vie est parfaite, tissée à ta mesure,
Et remplie des défis, que tu sais relever,
Et qui seront pour toi, de for jolies parures,
Pour embellir ton être, ton intérieure beauté. 

Et aujourd’hui pour toi, pour toi je veux chanter,
Avec des mots d’amour, la vie et la gaieté,
Je veux fêter pour toi, la fraîcheur, la jeunesse,
Petite abeille à miel, fêter dans l’allégresse.

Et toi, poussière d’étoile, un jour du grand ciel bleu,
Ou de la voie lactée, un jour, tu es tombée,
Ici-bas, sur la Terre, pour faire plus d’un heureux,
Dévoiler le mystère, dans ta ruche enchantée.

Le mystère de ta vie, que chaque jour tu dévoiles,
Petite abeille à miel, fleur de soleil d’été,
Toi qui brilles là-bas, toi qui lèves le voile,
Sur Qui Tu Es vraiment, découvre La Vérité!

Je t’aime, petite abeille

                                 Brigitte

mercredi 5 octobre 2011

Petite Étoile du matin,

Petite étoile qui brille, depuis la nuit des temps,
Tu t’es penchée si fort, depuis le firmament,
Sur notre belle Terre, Elle qui t’attirait tant,
Vers Elle tu as filé, vers tes nouveaux parents.

Oui, tu es descendue, fébrile et impatiente,
Et ils t’ont accueillie, après une longue attente,
Comme un cadeau du ciel, au grand jour dévoilé,
Toi, leur enfant céleste, leur bel ange adoré.

Et voilà qu’aujourd’hui,  ils veulent te présenter,
À leurs proches, aux amis et puis au monde entier,
Ils sont si fiers de toi, et désirent ardemment,
Que tu sois reconnue, Grande parmi les Grands.

Grande de tout ton Être, alentours irradiant,
Toute la pureté, la fraicheur de l’enfant,
Ta Lumière illumine, la plus noire des nuits,
Et ton sourire radieux, efface les soucis.

À toi qui as choisi, cette grande fratrie,
Celle qu’est l’Humanité, à son sort tu te lies,
Merci à toi belle âme, d’apporter la candeur,
De semer les plus beaux, des sourires enchanteurs.

Nous sommes réunis, pour fêter ton baptême,
Et nous nous réjouissons, de t’avoir ici –même,
Toi, fille de l’Univers, et pour l’éternité,
Tendre poussière d’étoile, de l’amour, tu es née.

Et tes sœurs dans les cieux, au cœur de la nuit dansent,
Sous la lune offrant, sa pâle opalescence,
Et le soleil pour nous, brille de mille feux,
Et il sourit de voir, ses enfants si heureux.

Merci à toi bel ange, à toi belle âme, merci,
De nous donner des ailes, de nous avoir choisis,
Je t’aime de tout mon cœur, et pour toi je nourris,
Sur cette planète Terre, la plus belle des vies.

De mon cœur à ton cœur, bel ange d’amour,
Je t’aime,

                                                                                             Brigitte