vendredi 3 décembre 2010

La vie est un chemin de Compostelle

Puisque la vie est un chemin de Compostelle,
Sauras-tu d’elle en dénouer toutes les ficelles?
C’est un chemin  sur lequel tu avances pas à pas,
T’apportant quelque chose que tu ne connais pas.

T’apportant le meilleur de ce qu’elle peut donner,
Tu en fais ton amie avec sérénité,
Et tu gardes le cap, comme sur ce beau voilier,
Qu’un jour tu as su, à destination, mener.

Tels ces grands samouraïs japonais d’autrefois,
Tu aimes à  pratiquer tous ces arts, qui pour toi,
Sont bien plus que de simples techniques de combats,
Des arts pour se centrer, des arts pour être, là.

Tout comme le  golf, d’ailleurs, dans  lequel tu excelles,
Faisant de toi un prof, aux méthodes sans pareilles,
Car ces sports tu les as, bien longtemps enseignés,
Aux étudiants venus à tes cours, assister.

Bon élève apprenant, la sagesse des anciens,
Pratiquant des rituels d’ancêtres amérindiens,
En quête de visions pour mieux te diriger,
Tu sais guider les autres, monter des feux sacrés.

Et quand ta voix limpide, entonne de l’aigle, le chant,
Entonne le chant du cœur, fait vibrer en dedans,
Alors tous, nous sentons cet appel qui gronde,
Pour chanter avec toi, chanter le chant du monde.

En un mouvement sacré, tournés vers la nature,
Séduits par sa beauté, sa grandeur, ses parures,
Derrière toi nous allons, vénérer ses espaces,
Écouter les messages des arbres, que tu enlaces.

Toi, l’initiateur du concensus-ressenti,
Que nous avons ensemble pratiqué et mûri,
Tu as su nous apprendre, le respect du silence,
Afin de ressentir, d’accueillir, en présence.

    En haut du mont Shasta, ta quête t’a mené,
Au centre de la Terre, là, tu as voyagé,
Et les Intra-terrestres, tu les as rencontrés,
Dans d’autres dimensions, pour d’autres amitiés.

As-tu enfin compris, par ton long cheminement,
Des Tables d’Émeraude, tous leurs enseignements,
Dans les Salles d’Amanti, tu as pu pénétrer,
De la présence de Toth, tu as pu profiter.

Pèlerin pour toi-même pour ta quête intérieure,
Suivant le mieux possible, ton Être Supérieur,
Jouant avec la vie, riant de ses clins d’œil,
Recherchant La Lumière de partout, qui t’accueille.

Allant sans faire d’effort, et laissant la voie libre,
À tout ce qui doit être, à ce qui doit se vivre,
Cadeau de l’Éternel, comme tu l’as choisi,
Tout comme une suite logique, là ici, dans ta vie.

Puis, c’est sur la voie de ta Souveraineté,
Et que la vie te met, au défi de prouver,
De transmuter de la justice, la parodie,
Pour jouir de tes droits innés et de la vraie Vie.

De tout ton I UNA, si près de son essence,
Et de ton droit divin, de ton droit de naissance,
Libre tu es, dans la paix de ton Âme aimée,
Car, dans la Voie du Cœur, là est la Vérité.

Dans la joie du moment présent, qui se fait Un,
Réunissant nos cœurs, fredonnant le refrain,
D’un même Amour qui chante, qui danse et puis qui rit,
Dans l’Être que Tu es, dans celui que Je Suis….

Je t’aime I Una,

Brigitte

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