jeudi 18 novembre 2010

À petits pas feutrés…

A petits pas feutrés, elle avance dans la vie,
Pour ne pas bousculer, autour, les endormis,
En douceur, elle leur montre, que pas à pas on peut,
Devenir grand et beau, vibrant et merveilleux.

C’est de par sa recherche, qu’elle a approfondi,
Sa quête de son Soi, son amant, son ami,
Qu’un jour, elle a touché, à son Être Divin,
Celui qui règne en elle, en Maître et Souverain.

De sa terre natale, bien loin, elle est allée,
Dans des contrées sauvages, pour mieux se retrouver,
Là ou la mer au large, roule ses vagues bleues,
Là ou le sable brûle, sous les pieds comme le feu.

Là, au cœur de la nature, immense et généreuse,
Elle se sent transportée, dans une transe amoureuse,
Là, quand la connexion se fait sublime et forte,
Toutes les larmes de joie, se déversent de son corps.

Sa vie est un roman d’amour envers la création,
Envers tout ce qui fait son champ d’exploration,
La gratitude  pour  elle, est moyen d’expression,
Reconnaissant ainsi, sa divine condition.

Cherchant ces lieux secrets, hautement vibratoires,
Là, elle aime à se rendre, dans d’autres territoires,
Pour aider la Terre-Mère, à se purifi-er,
Elle en fait la mission, d’une vie de qualité.

Afin d’ancrer sur Terre, la nouvelle vibration,
Pour qu’enfin, Gaia puisse, faire son ascension,
Elle part pour des voyages, parfois initiatiques,
Toujours évolutifs, bien souvent atypiques.

   Elle fait des ateliers, pour son évolution,
Pour donner à sa vie, une plus grande expansion,
Avec des êtres beaux, et vibrants et profonds,
Qui sont tous dans leur cœur, des êtres d’exception.

Touchée par la beauté, de tout ce qui l’entoure,
Éblouie par la Grâce, qu’elle porte avec amour,
Elle nous offre son cœur, et comme toute tendresse,
Elle nous offre la joie d’une infinie caresse.

La saveur de la vie, oui, elle sait la goûter,
Le goût de la vraie vie, elle peut vous en parler,
Elle sait de ses yeux voir, ce que d’autres n’ont vu,
Elle sait sentir l’essence, dont chacun est pourvu.

Ses sens sont l’essence, dont son âme se nourrit,
Pour engendrer la joie, pour embellir la vie,
Pure, spontanée elle est, comme la joie de l’enfant,
Qui les yeux plein d’étoiles, regardent le firmament.

Et tout comme eux elle a, les prunelles qui scintillent,
Qui font de sa présence, une belle âme qui brille,
Qui  illumine chacun, de son regard profond,
Comme deux lagons d’or, dans lesquels on se fond.

L’étincelle divine que dans ton cœur, tu portes,
Oui , je la vois en toi, rayonner, de telle sorte,
Que je ne peux te dire, qu’un chaleureux merci,
De faire ainsi partie, de ma vie, comme amie.

Je t’aime…

Brigitte

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire